Citation :

Déroulement de cette scène d'intro:

Tous les joueurs viennent poster, à la suite. Il n’y a pas vraiment d’ordre à suivre dans les post, mais je vous en prie soyez un peu cohérent.
Ex : Si vous parlez tous en même temps à Cendrillon, ça ne va pas aller.

Seules les princesses arrivent à la fête, les majordomes (Samuel et Malcolm, c’est bien de vous que je parle oui) sont bien entendu déjà sur place.

Cette scène n’est qu’une introduction afin que vous puissiez présenter le mieux possible vos personnages. Une fois que tout le monde sera là, nous pourrons réellement commencer la partie. Dans cette intro, c’est le moment de vous amuser et de faire preuve d’imagination. Je compte sur vous.

C’est aussi dans cette partie du jeu, une fois que j’aurais cerné vos personnages, que je désignerais un coupable.

C’est partiiiiiiiii ! \o/

Ariel ne tenait plus en place. Elle avait hâte de voire Cendrillon. Habituée aux fêtes sous marines organisées par son père ou elle et ses sœurs passaient leur temps à chanter, il fallait dire que ce genre de soirées changeait un peu. Assise dans son carrosse, la jolie fille au cheveux rouge était occupée à se gratter les jambes, grimaçant. Il faut dire que se n'était pas facile.. elle avait perdu sa queue il y a peu de temps pour l'échanger contre deux jambes... ses pauvres écailles, si belles, si... verte... envolées ! à la place elle avait cette peau rose et imberbe... comme c'était étrange ! et puis il était si difficile de marcher avec !

Le carrosse s'arrêta. Ariel ne perdit pas une seconde et ouvrir la porte, descend gracieusement, immense sourire jusqu'au oreille. Vêtue d'une robe à froufrous rose et courte, ses jolies gambettes, neuves qui plus est, était à l'air libre, à ses pieds trônaient deux escarpins tout aussi rose aux talons vertigineux. Ariel s'avança... mais catastrophe ! Voilà que cette gourde se prit les pieds dans le tapis rouge, s'affalant sur le sol comme une idiote. C'est sûr, avec ça, elle se ferait remarquer. Elle se releva rapidement, réajustant son épaisse chevelure rouge avec un sourire tout ce qu'il y à de plus niais, reprenant sa route et monta les marches, rejoignant Cendrillon bien rapidement.

- Ma chériiiiie ! Comme je suis contente de te voir !

Ariel répondit au sourire hypocrite de son amie et se jeta à son cou avec un rire mielleux et absolument idiot.

- Cendri' ! Regarde toi ! Tu es si belle et dire qu'il y a encore quelques semaines tu n'étais qu'une pauvre quiche à faire la boniche dans la maison de sa belle mère!!!

Ariel rit de plus belle. Ouvrant son, sac, elle en sortit une fourchette enroulée dans un ruban rouge et s'écria, telle l'idiote qu'elle était:

- Regarde ! C'est ton cadeau d'enterrement de vie de jeune fille ! C'est..un.. eu...*réfléchit*... zirgouflex !!! C'est Eurêka qui me l'a appris ! Ca sert à se coiffer les cheveux et à faire des brushing ! Crois moi sur parole, avec ça, tu seras superbe !

Citation :

Ariel, tu peux aller dans la grande salle immédiatement. La pièce est grande, il y a de la musique sympa, et toute une table au centre de la salle, avec des bouteilles et des verres en cristal à profusion. Une dizaine de serveuse se battent pour venir te servir toi et les autres invités.

Un soir, pas comme les autres ? Peut-être pas comme le quotidien, mais, c'était une réception comme les autres. Avec toutes ces fausses amies qui se faisaient des faux sourires dans une ambiance faussement joyeuse. A savoir comment ces pestes étaient heureuses, dans la vie. Peut-être ne l'étaient-elles pas, d'ailleurs. Mais passons.
Enchainant les commandes, Samuel passait entre les gens, tous plus hautins les uns que les autres, avec un sourire poli ancré sur le visage. Un plateau avec des petit fours sur la main gauche, le bras droit plié, avec posé dessus une serviette - serviette qui ne servait vraiment pas à grand chose, mais on lui avait dit de faire comme ça, alors il n'avait pas cherché plus loin.

Il continuait à servir, comme il se devait de le faire, comme il le faisait si bien depuis tant d'années, contemplant avec un certain désespoir les visages figés des invités à une fête sans autre but que démontrer et étaler ses richesses. Enfin, si ils fonctionnaient comme ça, il ne fallait pas les blâmer. L'humain est imparfait, non ?

"La..? La quelle déjà ?
La bleu... * renifle *
LA JAUNE !
La veeeerteuuuuuh."


Des rires, des pleurs puis des cris. Alice ne savait pas quelle robe prendre pour aller au bal. La rose, la jaune, la verte ou la bleue ? Là était le dilemme sachant que, la demoiselle portait toujours du bleu. Mais aujourd'hui, elle avait envie de changement, de renouveau. C'est alors que, le jaune et le rose vinrent s'inviter à la fête la laissant perplexe. L'une de ses boniches vint lui annoncer que le carrosse était prêt.


En retard ! En retard ! Mon dieu je suis en retard !


Se regardant une dernière fois dans le miroir, elle avait sur son dos la robe verte, le jupon en chiffons de toile, lui arrivant à la mi-mollet. La Jaune elle, était plus légère, lui arrivant au dessous du genoux aux manches longues. La rose, était une sorte de sac rose assez large, les manches au trois quart. Et enfin la bleu, l'éternelle robe cintrée très légèrement bouffante au jupon avec des épaulettes gonflées. Puisque c'est comme ça, ce sera les quatre. La verte déjà sur le dos elle enfila la jaune, la rose puis la bleu, superposant les couches devant les yeux de ses servantes qui n'osèrent rien dire tellement elles riaient. Enfilant ses mocassins blancs à pompon protubérants, elle dévalait les escaliers, laissa a peine le temps au majordome d'ouvrir les portes qu'elle bondissait dans le carrosse en direction de château de son amie.

Et quel voyage interminable. Qui dura 30 minutes à tout casser. Hurlant sur le cocher de crever ses chevaux, elle faisait rebondir le présent sur les sièges molletonnés de son carrosse de luxe qu'elle avait fait peindre en rose et violet. Arrivée devant le château de sa supposée bonne amie, elle bondit encore sauvagement, pour sortir cette fois, attrapant le présent par le ruban de soie et entamait une course contre personne pour monter les divins escaliers avant.. personne. L'homme à l'entrée la regardait en coin, se redressant lorsqu'elle arrivait à son niveau. Il l'annonça, d'une voix grave et solennelle, comme dans tous les bal où elle avait assisté. Descendant les autres marches deux à deux, elle s'approchait de la dame où toutes les autres princesses s'étaient agglutinées. Et là, c'est le «drame ». Prenant une longue inspiration elle criait presque de sa voix pas si mélodieuse.


« Salut..! dit elle retenant maintenant son souffle, puisqu'elle avait oublié le nom de l'hôtesse. Un sourire forcé se dessinait sur les lèvresEt joyeux Hanoucca !"


Alors qu'elle lui lançait le paquet dans les bras, elle s'avançait déjà vers la sale de bal.