Evalmar Hunt
Messages : 5 Messages rp : 0 Date d'inscription : 10/10/2010 Age : 28
Identification Âge: 23 ans Statut: Mercenaire Relations:
| Sujet: Evalmar (Terminé!) Dim 10 Oct - 18:50 | |
| Personnage prédéfini ? : Non ^_^ Nom : Hunt Prénom : Evalmar Âge : 23 ans d'apparence humaine ~ 100 ans ~ Orientation sexuelle : Hétéro Rang : LycanStatut au sein de la meute : MercenaireApparence en tant que Loup : Evalmar, en tant que loup, est un animal au pelage sombre. Très sombre même. Seul le dessous de son menton est légèrement blanc, comme s'il avait une barbiche. C'est un fier animal, comme tous les loups par ailleurs. Ses oreilles se couches régulièrement sur sa tête comme il s'énerve pour un rien et toute la meute, du moins la plupart des loup, connaissent ses dents pointus et son grognement rauque et profond. L'hiver, son pelage devient plus épais qu'en été, ce qui ne déplait pas au loup qui adore la chaleur et la douceur de sa fourrure. Ses pattes sombres ne font aucun bruit sur le sol, aussi silencieusement qu'une ombre dans la nuit, il peut se déplacer... Ses pattes sont d'ailleurs fines. Evalmar, lors de ses premières transformations, trouvait que c'était étrange d'avoir des pattes fines qui, en réalité, étaient grossies par ces poiles noirs. Lorsqu'il a sa forme de quadrupède, on ne peut pas voir les anciennes marques sur le dos d'Evalmar mais sa façon de marcher est particulière juste après sa transformation. Chaque loups souffres en se transformant, non? Et bien durant plusieurs minutes notre jeune ami à bien du mal à se déplacer! Les yeux de la bête sont d'une couleur ambrées. Ils tirent vers le vert bien sûr puisqu'à la base, les yeux du Lycan sont d'un vert d'émeraude. Physique en tant qu'Humain :Le jeune homme est relativement grand, pour commencer cette description par la taille. Pas qu'Evalmar aime être supérieur aux autres... Simplement être grand c'est pratique pour beaucoup de choses! Il faut dire qu'il était âgé d'une vingtaine d'année lorsqu'un Originel l'a mordu pour le transformer en un Lycan, donc il n'a pas la taille d'un gamin. En réalité... Il n'ai absolument pas le plus grand de tous les loups... De beaux cheveux noirs, tirant vers un doux brun, assez courts, entourent son mélancolique visage renfrogné. Ces derniers cachent généralement une partie de ses yeux verts et brillants comme deux petites billes rondes. Ses yeux... Ah! Quelle merveille! C'est l'un des plus beaux atout du visage d'Evalmar: ses yeux. À chaque fois que le jeune homme se regarde dans un miroir, il ne peut s'empêcher de se plonger dedans. Il y voit lui même sa mélancolie et sa tristesse mais, pour recouvrir ses deux faiblesses, il se charge de hargne et d'agressivité. Le jeune homme a un tint pâle, bien que ce tint soit généralement réservé aux vampires. Mais ce tint était de famille, sa sœur ressemblait a une poupée en porcelaine (c'est pour dire ! ). Ses lèvres délicates s'élargissent parfois pour faire place à un sourire, tantôt mystérieux tantôt arrogant. Mais la plupart du temps ses lèvres restent sans la moindre marque de sourire. Elles bougent pour lâcher des mots dures et plein de colère. Mais pour ceux qui connaissent bien Evalmar, sa colère en est presque pathétique. Qui plus est lorsque le jeune homme n'est pas transformé en loup et qu'il essaie de grogner en montrant ses dents blanches. Sur la peau nu du jeune homme, dans son dos, sont gravées d'éternelles cicatrices, longues et profondes. Mais personnes ne pourrait s'en douter à vu d'œil. Élégant dans l'ensemble, Evalmar faisait souvent rêver des jeunes filles avant de devenir un Lycan. D'ailleurs il aimait bien les utiliser comme passe temps en les draguant. Vêtu généralement de noir, le jeune homme porte de temps à autre sur sa tête un haut de forme sombre en douce soie. Une large cape posée sur ses épaule lorsqu'il est dans les bois, il porte à sa taille une longue épée à la lame étincelante, même s'il ne s'en serre presque jamais, préférant se battre à main nu. Ses gants, ou plutôt ses mitaines en cuire, ne le quitte que lors de ses transformations. Son apparence n'est pas négligée malgré son caractère assez brusque et il porte même une cravate. Ses bottes en cuir monte sur ses cuisses et lui tiennent fermement les chevilles. La chose dont il prend le plus soins est sans nul doute son épée et son violon....
Caractère : Voici sans doute un beau chtarbé dans la meute ! Comment ça " chtarbé " ça ce dit pas? Bah moi je vous dit que si! Sans vouloir être familier, Evalmar a quand même un caractère spécial et bien trempé! Étant un talentueux violoniste en tant qu'humain, le passe-temps du jeune homme reste cependant de faire leur fête aux vampires, ces personnes devenues mortes-vivantes (il les appelle comme ça bien que les vampires ne soient pas vraiment comme des morts vivants) suite à l'infection mystérieuse. Oui... "l'infection mystérieuse" tout simplement parce que Evalmar ne connait pas le terme exact de leur transformation. Il a un tempérament très vif et il s'emporte pour un rien! Lorsqu'il est un loup, il n'est par rare qu'il entraine des bagarres, ce qu'il aime particulièrement. Bien que réfléchit dans certaines situation, le Lycan agit souvent par impulsion et ne se casse pas la tête à trouver des solutions compliqués. Il a parfois la simplicité d'esprit d'un enfant. Malgré ce trait de caractère très marqué, il est parfois calme (ce qui est très rare). Il a un bon sens de l'orientation et il passe son temps à insulter les autres. Il ne se prive pas de frapper ou de crier sur les femmes et les enfants si ces derniers l'énervent, non mais! Bien que Evalmar s'énerve à tout va ,il a tout de même un brin de sympathie et de douceur (minuscule) dans son cœur! Sinon il ne jouerais pas du violon en tant qu'humain: instrument délicat tout de même.Histoire : ~ Il était une fois, dans un pays lointain.... Un jeune garçon qui promettait de ressembler à un prince plus tard. Il avait le tint pâle comme la mort, les cheveux noirs comme le désespoir et le cœur rouge comme la haine... Miroir magique au mur, qui est le plus beau et le plus pur? ~ Il était une fois, dans un royaume lointain... Une femme qui s'inquiétait de ne pas avoir d'enfants. Un jour, alors qu'elle se baignait, une fée apparut devant elle et lui prédit "Ton vœu sera exaucé, tu aura un fils...". Le soir suivant, la prédiction se réalisa. Le frère de la jeune femme réussit à se faire passer pour son mari et neuf mois plus tard un beau petit garçon naquit d'un inceste... Pour fêter cet évènement tragique, le frère de la jeune femme invita treize sorcières dans le royaume lointain... Mais il n'y avait que douze matelas aux draps blancs et aux roses immaculées pour les accueillir et les torturer... "Je prédit qu'il se fera mordre par un Originel à l'âge de 23 ans et qu'il en mourra... ou pas!" ~ ~ Il était une fois... Une histoire dans un royaume lointain! ~ Chapitre Premier ~Les roses tâchées de sang ~ |
Il était une fois un fils unique d'une riche famille humaine. Son père n'était qu'un hypocrite, arrogant et plein de mauvaises volontés. Il voulait du mal aux autres en disant faire le bien. Evalmar a toujours haïe son père à cause de cela mais aussi à cause de son infâme crime. Evalmar n'était pas le fils de l'épouse de son père... Mais il était celui de sa sœur. Né d'un inceste pour le moins odieux, le jeune homme fut dégouté de lui même et de son paternel pour le reste de ses jours! Toute son enfance, alors qu'il apprenait a bien se tenir, à apprendre de nombreuses choses, son père le battait. Encore une fois il disait faire le bien en faisant en réalité le mal. Son père le fouettait dans le dos, jusqu'au sang, jusqu'à ce que Evalmar n'est plus de voix pour crier. Personne n'était venu sauver le jeune homme des tourments des souffrances. Le jeune homme grandit ainsi. Tous les soirs, son père le faisait entrer dans une chambre, au sous sol de la maison. Cette pièce étroite sentait le renfermé et les murs en pierres grises laissaient voir de la moisissure. Quelques meubles en bois étaient calé dans un coin. Sur ces étagère s'entassaient des instruments de torture ainsi que des fioles où reposaient différentes sortes de liquide de couleur variées. Au centre de cette pièce ce trouvait un matelas, oui un long matelas posé sur une table en bois. Les draps de ce "lit" étaient blancs et purs, il s'y trouvait même un oreiller entouré de quelques fils dorés. Autour de ce lit s'entassait des multitudes de roses aussi blanche que le reste de ce "lit". Et chaque soir, le père d'Evalmar le couchait au milieu des roses épineuses, au milieu de tout ce blanc. Il déchirait alors sa chemise et levait son fouet. Le fouet allait s'abattre durement sur la chaire de son fils. Le sang rouge qui coulait des blessures allaient lentement se perdre sur les pétales des roses qui changeaient de couleur, s'inbibant de ce pourpre magnifique.
Une fois que le père d'Evalmar avait mal au bras, les coups cessaient. Le jeune homme était alors prié de regagner sa chambre sans pleurnicher et de dormir jusqu'au lendemain matin. Ce manège dura un long moment jusqu'à ce qu'une employée de la maison ne découvre les blessures du jeune gomme. Ce dernier ne s'était jamais plein de son mal mais il dénonça son père lorsque ce fut découvert. La jeune femme avait toujours été bienveillante envers Evalmar. Mais elle ne crut pas le moindre mot des paroles du jeune homme, vouant une foie sans borgne aux comptes de fées où tous le monde est heureux et où le bien triomphe du mal. Longtemps Evalmar avait cru lui aussi à ces histoires. Mais elles ne finissent jamais bien. Les comptes de fées sont tous faux... Les créatures fantastiques n'existent que dans les rêves... Hélas ce n'est qu'à demi juste, le jeune homme le comprendra un jour. L'employée de la maison parla au maître des plaintes de son fils. Le père d'Evalmar vint le voir au milieu de la journée et ils descendirent tous deux au sous-sol, dans la petite pièce. Les draps blancs n'avaient pas été lavés depuis la veille et les roses demeuraient tintés de sang. Le père faisait les cent pas dans la pièce, il ne savait pas comment en venir au but. Il prit finalement la parole alors qu'Evalmar, silencieusement, saisissait un poignard dans sa main droite.
-Mon fils, tu me déçois. Comment peux-tu accusé ton propre père de faire le mal? Je t'aime! Et c'est parce que je t'aime tellement que je veux te tuer à petit feu. Me comprends-tu?
Aimer son fils au point de vouloir le tuer? Cela n'avait vraiment aucun sens! Evalmar contourna son père, tout en le fixant droit dans les yeux. Il ne répondit pas et se contenta de le fixer longuement. Son père reprit, reculant d'un pas vers la table aux draps encore rouges.
-Tu sais, fils, le mal ne peut exister en ce monde. C'est pour ne pas que tu sois mauvais que je t'absous de tes pêchés par le fouet. Tu sais, fils, le bien sera toujours là, présent. Il fait guérir le bien par le mal... Et nous vivrons heureux, dans la pureté des cœurs. -Guérir le bien... par le mal? -Oui, mon fils! -Vivre heureux... Père, cela n'existe pas. Personne ne vit heureux sur terre. Même si nous sommes heureux pendant un temps, le mal nous rattraperas toujours! Le bien ne peut demeurer qu'un temps. Et en guérissant le bien par le mal... le mal reste accroché aux ombres des gens.
Un éclaire de colère passa dans les yeux du père. Ce dernier rugit, faisant couler le long de ses lèvres une cascade de mots malsain, de blasphèmes et de jurons. Il leva la main pour frapper ce fils qui osait le contredire mais Evalmar leva son poignard et d'un mouvement de son bras, déchira l'air de son arme qui vint s'enfoncer profondément dans le cœur de l'homme. Ce dernière poussa un profond râle avant de s'effondrer sur le matelas. Son sang recouvrit alors les roses blanches et ses yeux se vidèrent de toutes expressions. Evalmar lâche son poignard, sans aucune peur il se pencha au dessus du corps de son père et lui murmura à l'oreille:
-Et ils vécurent heureux... jusqu'à ce que la mort les sépare...
Et Evalmar s'en alla, laissant cette vie derrière lui. Personne ne se doutait de quoi que ce soit à son départ. Personne n'entendit jamais les "plac" des gouttes de sans s'écrasant lentement sur les dalles de pierre, et personne ne vit jamais les roses blanches tâchées de sang. Deuxième chapitre ~Pour l'éternité...~ |
Il était une fois un jeune homme d'une grande beauté. Mais ce jeune homme n'avait pas de famille... Ce jeune homme était seul. Ce jeune homme n'aimait personne, ne voulait voir personne. Il s'appelait Evalmar. Celui qui a tué son père, celui-ci, oui. L'assassin comme l'on pourrait le dire! En fuite depuis plus de 7 ans et âgé d'une vingtaine d'années, plus ou moins, le garçon se faisait régulièrement hébergé par des jeunes filles qui ne l'accueillait que pour sa beauté et ses airs tristes et miséreux. Bienvenue chez les gens comme un vagabond, Evalmar restait toujours enfermé. Il n'acceptait pas certaines choses et c'est de là qui naquit son agressivité. Plus le temps passait plus "être poli avec un autre être vivant" ne faisait plus partit du vocabulaire du jeune homme. Allant de ville en ville, il fallait bien que quelque chose arrive un jour où l'autre, sinon l'histoire ce finirait maintenant et ce ne serait pas intéressant...
C'était un soir, tard. Evalmar s'appliquait à traverser un marais. Ses vieille bottes usées s'enfonçaient dans la vase de temps à autre, ce qui rendait la traversé très périlleuse! Le jeune homme s'arrêta au bout d'un moment alors qu'un vent nocturne, frais et doux, venait caresser les tiges des roseaux et des hautes herbes. Ce vent délicat qui ridait la surface des bourbier et de la rivière qui glougloutait à quelques pas de là. Les lune argenté se reflétait doucement sur la surface de l'eau et éclairait le paysage alentour d'un éclat apaisant. Un léger bruit vint se répercuter contre les parois des rochers qui montaient devant la rivière. Evalmar, n'ayant jamais crut en des choses horribles, crut qu'il s'agissait d'une poule d'eau ou d'un animal quelconque. Il s'étira et reprit sa marche: il n'est jamais bon de trainer au milieu de marais la nuit. Alors que le jeune homme se mettait en route en pestant contre la boue qui entrait dans ses chaussures, le bruissement de l'herbe se fit plus proches. Il n'était ni trop rapide ni trop lent. Evalmar lança un coup d'œil suspicieux derrière son épaule. Il ne vit rien dans l'herbe haute. Il entendait simplement une lente respiration, comme celle d'un gros chien...
Le jeune homme s'approcha d'un pas, s'arrêtant devant une ligne de roseaux. Tout redevint lentement paisible, les grillons chantaient dans le près d'à côté et le bruit de la rivière, balayée par le vent, murmurait une douce mélodie aux pierres qu'elle caressait. Evalmar eut un ricanement destiné à se moquer de lui même et il voulut reprendre sa marche. Mais alors qu'il se détournait, quelque chose lui sauta dessus par derrière. De surprise et de peur (il faut l'avouer) le jeune homme poussa un cri avant que sa figure ne vienne heurter le sol mou des marécage et que sa tête ne s'enfonce dans un bourbier. Se débattant comme il put, le jeune homme finit par se retourner. Un loup le regardait alors de ses yeux jaunes. Un loup? Pourquoi cette bête était-elle ici? Elles n'étaient pas censées ce trouver dans les bois? Qui plus est la nuit... Evalmar ne chercha pas à comprend. Il tira de sa poche un coutelas. Il n'avait pas l'intention d'épargner cette bête qui avait osé l'attaquer par derrière!
Sans réfléchir plus longtemps à ses actes, Evalmar se jeta sur la bête qui lui sembla alors bien plus menaçante qu'au premier regard. Le loup fit un bon prodigieux et se griffes vinrent incruster trois longues estafilades à quelques centimètres de l'œil droit de sa proie. Le jeune homme, trompé par l'éclat de la lune et la traitrise des marécages, se retrouva embourbé dans un profond trou. La bête s'approcha alors lentement et le jeune homme fouetta l'air de son arme pitoyable. Le loup montra les crocs et grogna avant de s'apaiser. L'homme et la bête se fixèrent pendant de longues minutes avant que l'imposante et belle créature ne s'approche. Les yeux verts d'Evalmar se fermèrent.
*Voilà personne ne pourra me réveiller, personne ne fera attention à moi et on ne pourra plus rien me reprocher... Pour l'éternité....*
Les crocs de la bête se refermèrent sur son avant bras. Evalmar put sentir les longues dents de l'animal s'enfonçaient dans sa peau. Un instant, le jeune homme crut que le loup pourrait rompre l'os de son bras et il s'attendait à tout instant d'entendre un craquement sonore. Bien sûr qu'il cria, qui n'aurait pas eut mal? Mais la bête relâcha sa proie et recula en grognant avant de partir. Le bras en sang, Evalmar n'avait pas la tête à se demander pourquoi le loup ne l'avait pas décorer. Il était toujours prit au piège dans le marais et il s'enfonçait de plus en plus. À force de ce débattre, le jeune homme s'extirpa de là et se retrouva sur des herbes moins dangereuses. Le sang avait arrêté de couler de son membre mais le jeune homme était très faible à présent. Il sortit de cet infernal marais, se trainant tant bien que mal et se laissa tomber le dos contre un arbre, près de la rivière qui glissait joyeusement dans son lit... La seule joie qui demeurait au fond des tripes d'Evalmar s'était d'être en vie. Troisième chapitre ~La belle est la bête.~ |
Il était une fois, dans un royaume lointain une jeune femme dont la beauté n'était égale à nulles autres! Son tint était d'une pâleur inexplicable, ses yeux d'un rouge de sang... C'était la princesse de ce pays. Elle s'appelait Cydéra. Tout le monde pensait qu'elle était gentille, généreuse et bienveillante et la fille unique du vieux roi. Il était malade. Mais la jeune femme n'était pas ce que tout le monde pensait! Elle torturait des enfants de la cour en cachette. Un beau jour, elle vit un homme dans un été critique aux abords du village. Elle l'aborda alors en le faisant entrer dans sa maison. L'homme dit d'appeler Evalmar mais il fut empêché par la jeune fille de continuer. Elle soigna sa blessure purulente au bras et s'occupa de lui toute la journée en même temps qu'elle le faisait pour son père. Ce fut le soir venu que tout ce gâta bien entendu...
La lune brillait dans le ciel et perçait à travers les vitres. Evalmar, allongé sur le canapé, s'agita dans son inconscience. Cydéra avait accueillit des enfants chez elle. Elle était en train de leur faire subir quelques tortures infâmes. Les yeux du jeune homme s'ouvrirent en grands, ils étaient d'une belle couleur ambré. Ce dernier poussa un cri: sa blessure au bras le brulait. Cette brulure se propagea dans ses veines jusqu'à faire battre son cœur de plus en plus vite. Le loup ouvrit ses yeux ambrés et poussa quelques couinements d'incompréhension. Ses oreilles se dressèrent soudainement sur sa tête en entendant des cris de douleurs. Des enfants? Evalmar sauta sur le sol et se dirigea vers une porte menant aux sous-sols. Des visions se formèrent dans son esprit... Son père le prenant par le bras... Le fouet qui claquait dans l'air et les roses blanches se tâchant de sang. Le jeune h... La bête poussa la porte de son museau en poussant un long grognement.
Les cris s'arrêtèrent un instant et des bruits de pas se firent entendre dans l'escalier. La princesse apparut alors, sa bouche dégoulinant de sang et ses canines dévoilées en dessous de ses lèvres retroussées. Elle baissa les yeux sur le loup et haussa les épaules. Evalmar poussa un profond grognement et fila entre les jambes de Cydéra pour descendre dans la pièce au sous sol. Il vit alors des enfants ligotés sur le sol. L'un avait la gorge ouverte... Ce spectacle fit reculer le loup d'un pas et il se retourna vers la femme qui n'était autre qu'un vampire. Le loup sauta sur la jeune femme qui poussa un cri et roula sur le sol avec lui. Ce fut alors une série de coups de poings, de coups de griffes et de coups de dents. La Mordue et le Lycan se battaient sauvagement. Les crocs blancs de l'animal s'enfoncèrent dans la chaire de la jeune fille qui recula en sifflant de rage. La Belle détala alors, laissant la Bête au milieu de la pièce. Evalmar, haletant, retourna son attention sur les enfants. Ils étaient déjà mort. Les autres se vidaient lentement de leur sang. Le loup voua à ce jour une grande haine contre les vampires... Puis il apprit qu'il était un loup-garou... Ou une sorte de loup-garou du moins. Il rencontra plusieurs semblable comme lui. Ils étaient aussi contre les vampires...
Tout et bien qui finit bien mais... Vécut-il heureux et eut-il beaucoup d'enfants? Pas du tout... D'ailleurs la fin n'est pas encore arrivée. Autre ? : ... ^0^ j'espère que mon avatar n'est pas déjà utilisé <3 Désolée de ne pas avoir fait une belle description psychologique et ... Beau forum |
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Azghar
Messages : 708 Messages rp : 19 Date d'inscription : 04/06/2010
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| Sujet: Re: Evalmar (Terminé!) Ven 15 Oct - 21:23 | |
| Bonjour bonjour =) Alors voilà , il y a dans ta présentation un petit passage qui nous dérange Amé et moi , c'est la partie ou tu dis : - Citation :
Evalmar poussa un profond grognement et fila entre les jambes de Cydéra pour descendre dans la pièce au sous sol. Est ce une expression pour dire qu'il l'évite ou est ce vraiment la taille de Evalmar sous forme de lycan ? Merci pour ta réponse =) |
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Azghar
Messages : 708 Messages rp : 19 Date d'inscription : 04/06/2010
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| Sujet: Re: Evalmar (Terminé!) Sam 16 Oct - 10:43 | |
| Merci pour la précision =) Tu es donc validé =)
Il te reste à faire ta demande de lieu de vie et de remplir ta fiche d'identification =)
Bon RP parmi nous :) |
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