Nom : Angeles ( Anges en Espagnol )
Prénom : Maria
Âge : 19 ans
Orientation sexuelle : Hétérosexuelle
Membre de la Coalition ?: Non !
Pro-vampires ? : Oui




†Physique† :

Une humaine avec une apparence pas comme les autres. Pourquoi cette beauté enigmatique, cette sensualité divine dans ses gestes … Maria est très belle et elle le sait. Mais ce n'est pas une beauté comme les autres, non. C'est une beauté bien étrange qui rivalise avec les photos de mannequins retouchées. Une beauté naturelle et chaleureuse, mais bien étrange (Explications dans l'Histoire). Sa peau est d'une couleur laiteuse. Elle prend vite des couleurs, et est douce comme celle des enfants. Elle est la peau contraire des vampires, qui sont froides et dures. Ses yeux sont bleus ciel. Un bleu trop flash, un bleu profond et illuminé par l'Humanité. Son regard est si intense que peu ose s'y plonger. Ses cheveux sont roses. Rose ? Oui rose. Au début de sa vie la jeune Maria avait des cheveux roux qui n'ont cessés de tirer vers le rose jusqu'à ses seize ans. Ils sont fins et lisse mais ils ondulent facilement, ils ont une assez bonne fluidité. Par contre ils sont extrémement longs et une frange cache son front. Ses mains possèdent de longs et fins doigts, et elle a toujours les ongles assez longs qu'elle n'hésite pas à vernir. Son visage possède une drôle de perfection. Elle n'est pas celle des majestueux vampires, elle est autre. Une perfection douce et sucrée avec un fin nez, une bouche pulpeuse et rose, de longs cils et des traits simples. Elle n'est pas la poupée de porcelaine des vampires mais elle peut la rivaliser. Elle a une taille moyenne pour une femme, 1m68, et elle est très fine. Si fine qu'on a peur de la casser la pauvre humaine. Humaine possédant de si fragile bras et une infini douceur. Vous me direz: mais comment une simple humaine peut-elle posséder telle beauté … Une beauté angélique. Est-elle réellement humaine ? Oui … Mais quelque chose dans son sang la diffère. (Voir Histoire- Suspense suspense)

Vestimentaire: Elle aime s'habiller avec des couleurs simples. Le blanc et le noir domine sa garde-robe. Elle est amatrice des robes courtes et fluides. Le décolleté dentelé ne la gêne pas. A par les robes, elle ne possède presque que des habits moulants. Son style est comme son physique, angélique et avec une beauté simpliste et douce. Pour ce qui est des accessoires, elle aime se mettre des bagues ou des bracelets, mais son buste reste souvent nu, elle met très rarement de colliers. Ses cheveux sont toujours détachés sauf en cas rares. Il lui arrive de mettre des accessoires dans cette sublime chevelure rose, surtout des fleurs comme les roses.

†Caractère† :

Elle a un personnalité très difficile à cerner … Elle semble si neutre, toujours sérieuse et sarcastique. Elle est dure et sait tenir tête. Elle persévère toujours pour obtenir ce qu'elle veut. Têtue, elle sait ce qu'elle veut et rien ne pourra la convaincre du contraire. Elle est mature et lucide, elle sait lire entre les lignes et décrypter les expressions et les sentiments. Elle a le sens de l'honneur, se qui la rend susceptible. Elle n'ai pas du tout narcissique et elle a rarement tendance à surestimer les choses. Elle semble être une femme accomplies malgré son jeune âge.
Voilà un caractère de dure. Oui mais Maria à aussi une partie sensible en elle. Une sensibilité aiguë pour les actes nobles, les belles choses, et les actions accomplies par le coeur. L'amour est ce que désir Maria, comme toutes les femmes. Elle succombe facilement aux choses adorables, mignonnes, et faibles. Elle sait comprendre, et elle aime aider. Une âme généreuse l'habite. Elle ressent la tristesse, la destruction chez l'autre. Elle est très observatrice quand il s'agit sentiments.
Mais ses sentiments... Y prend-t-elle compte ? Maria a tendance à oublier ses malheurs. N'ayant jamais connu son père, elle n'a jamais eu un véritable contact avec les hommes. Elle ne sait pas comment se comporter avec eux, malgré qu'elle comprend mieux que quiconque les sentiments des autres. Elle se montre parfois gênée lorsque l'un d'eux désire un contact plus proche avec elle.
Elle n'a pas d'amis … Elle n'a pas d'ennemis non plus. Elle ne sait pas aller vers les autres. Pourtant, beaucoup l'admirent en secret. Mais elle les aide, leur sourit, mais elle est incapable de faire d'eux des amis. Et personne n'a souhaité être son ami proche. Elle est si différente … C'est cela la cause … Elle est trop différente. Une humaine mais pourtant … Elle est si inaccessible. Et au fond, elle est seule. Une solitude la ronge au plus profond de son coeur depuis bien longtemps … La détruit, la décompose … et peut être la tuera. Et elle n'y remédie pas. Car elle ne fait jamais attention à ses sentiments. Le coeur de Maria est encore enfant et vide.

Goûts : Elle aime les fleurs, la nature, tout le naturel en général. L'Hiver est sa saison préférée car elle déteste le soleil. Sa mère défunte, et son père défunt aussi, qu'elle n'a jamais connu, mais elle aspire une grande admiration pour lui. Les roses sont ses fleurs préférées ainsi que leurs parfums. Maria a un faible pour les sucreries. Malgré son petit appétit, c'est une bouche à sucre. Et elle voue une adoration complète pour les vampires.
Elle déteste son beau père, qu'elle a fuit. Les gens hautins ( même si il lui arrive d'être ainsi). Les membres de la Coalition même si elle ne les connais pas. Les ignorants, ceux qui se pavanent … Et tant de choses encore... Elle n'aime pas le soleil. Pourtant il ne lui fait rien de mal, mais quelque chose en lui la repousse.

Une autre chose sur Maria. La vue du sang ne l'écoeure pas … A t-elle l'estomac dure … Où est-ce dut à son père ?




I/ Tout est bien qui finit …


Un couple comme les autres. Amoureux et Heureux. L'homme était un espagnol, des plus beaux. Son regard était bleu, et ses lèvres ne demandaient qu'à être embrassées. Il se nommait Felipe. La femme était rousse est belle, et son nom tout autant Donna. Un couple des plus prestigieux, entre deux personnes honnêtes et simples s'aimant. Tout paraissait si facile, si magnifique. Tout était si manichéen. On aimait regarder ce couple s'embrasser sur un banc. On aimait les voir se promener main dans la main … Tout se passait si bien que le jeune couple décida de vivre ensemble dans une petite maison isolée. Ils parlaient même de mariage. Vraiment, tout était si merveilleux.

Pourtant, cela faisait quelques mois que Felipe s'absentait le soir. Que faisait-il ? Donna l'ignorait et pour ne pas détruire le bonheur ambiant, dans lequel elle vivait, elle faisait semblant de ne pas remarquer ces absences.
Felipe sortit furtivement de la maison, où dormait sa bien-aimée. A pas feutrés, il arriva à la lisière de la fôret. Une grande dame, vêtu d'une robe du XVII ème siècle, l'attendait. Elle était très belle. Une beauté irréfutable. Elle s'avança, dévoilant son visage pâle et des dents blanches aiguisées à travers son sourire. Elle tendit une main très pâle et la posa sur le visage de Felipe.

« Bonsoir. »

Il lui répondit calmement. Il ne semblait pas à l'aise aux côtés de cette splendide femme. Il y avait de quoi … Elle paressait si effrayante. Comme si elle sortait d'un monde autre que le notre. Elle embrassa Felipe, d'un baiser des plus brève et doux. Maintenant c'était elle qui ne semblait pas à l'aise. Elle ferma les yeux, se mordit les lèvres … Un filet de sang si échappa. Sa langue, trahissant son désir, lécha le sang qui coulait.

« Ecoute Felipe… Je t'aime. Mais … Je vais partir et peut être que quand je reviendrais … Tu seras … »

La magnifique femme au cheveux argents, déglutit. Elle semblait en réalité si triste. Ses yeux pétillaient comme si elle allait pleurer, mais aucune larme ne coula. Ils se dévoraient des yeux. Felipe aussi semblait impuissant et attisé par la tristesse.

« Je ferais tous se que tu voudras. »

Le silence de la nuit revint se glisser. Aucun vent ne faisait bruisser les arbres et les buissons. Un silence macabre s'était installé.

« Vraiment tous ? »

L'homme ne répondit pas. Il baissa les yeux comme pour dire non et reconnaître qu'il avait parler trop vite. Pourtant la femme sourit. Sa langue passa sur ses lèvres, qui étaient toutes aussi pâle que s peau. Elle se leva sur la pointe des pieds. Les tissus de sa robes produisirent un léger bruit dut au frottement. Elle ouvrit la bouche, et sans cri égard, elle mordit son cou avec une rapidité prodigieuse. Felipe poussa un cri de douleur. Le sang coulait dans la gorge de la femme vampire. Felipe se débattait en hurlant. Il hurlait qu'il avait une femme, et qu'il l'aimait. Il la supplia d'arrêter. Ce n'était pas ce qu'il désirait. Elle allait gâcher son bonheur. La vampire s'arrêta enfin. Elle s'essuya la bouche avec sa manche. Elle lui jettait un regard des plus meurtrier. C'était la vampire qui était blessée … Pas Felipe.

« Alors toute ces jolies choses que tu me disais n'était que des mensonges ! Je devrais te laisser mourir ! Pourtant je t'aime … »

Sur ces mots elle se griffa la gorge, et le sang coula. Rouge luisant, exquis si délicat … Du sang de vampire. Felipe gisait à terre, il allait mourir. La vampire attrapa délicatement sa tête et approcha sa gorge sanglante de sa bouche. Il but son sang … Ce pacte à un seul sens se cella. Elle se releva.

« Te voilà un sur-être … Un vampire … Mais tu es mort. A partir de maintenant tu n'existe plus dans son monde, mais dans le mien. »

Elle porta Felipe qui était agité par la souffrance. Elle le transporta dans une cabane abandonnée, puis le laissa là. Elle était sur le point de fermer la porte, mais elle eut un moment d'hésitation.

« Adieu Felipe ... »

Et la porte claqua, laissant l'homme à l'agonie, souffrir, haleter, hurler...

Pendant des jours Felipe souffrait. Et lorsqu'il fut enfin transformé, il eut soif. Pourtant il resta dans la cabane … Il se cachait … De quoi ? De sa honte ? Puis un soir, Felipe n'en pouvait plus. La soif le tiraillé, lui brulait la gorge. Sous le clair de lune, pour la première fois, il sortit en temps que vampire. Il avait soif. Il ne pensait même plus à revoir Donna … Non ce qu'il désirait c'était boire … du sang. Un jeune homme en vélo passa. Quelle erreur ! Sans même réfléchir, Felipe lui sauta dessus et il but son sang à pleine gorgé. Il avait si soif qu'il ne s'arrêtai plus, il but, but... Une fois le jeune homme entièrement vidé de son sang, Eduardo se releva. Il était tâché de rouge … Toute sa belle chemise, autrefois immaculée rougissait sous le clair de lune. Un homme arriva en courant, alerté par les bruits. Felipe l'attaqua, le mordit, et but son sang à lui aussi. Il était plein. Il pouvait enfin aller voir Donna sans risquer de l'attaquer.
Il avança jusqu'à son ancienne demeure. Il regarda par la fenêtre … Elle était là, toujours aussi belle. Comme il regrettait de l'avoir tromper avec cette vampire … Ils auraient pu être heureux et avoir cette enfant qu'elle désirait tant. Comment se faire pardonner ? Lui expliquer ? Non, il ne pouvait plus vivre auprès d'elle … Se serait trop risqué … Il ne voulait pas la mettre en danger. C'était là sa punition, et il la méritait. Donna semblait si malheureuse, si seule … Ses cheveux roux était en bataille et ses yeux rougis par les larmes. Eduardo décida de lui offrir un dernier cadeau avant de disparaître à jamais de sa vie.
Il entra en fracassant la porte, qui tomba au sol.

« Felipe ! Felipe, te voilà de retour ! … Mais … C'est du sang que t'est-il arrivait mon amour ? »

Sans un mot, il arracha sa chemise et retira son pantalon, qui restèrent au sol.

« Felipe .. Felipe ? Que fais-tu ? Où étais-tu … ?

_Je vais t'offrir le cadeau que je t'ai arraché en disparaissant … Excuse-moi … Je ne te mérite pas. »

_Mais … Mais tu es mon cadeau …

_Plus maintenant. »

Il saisit ses bras. Sa force étant prodigieuse, il ne se rendait pas compte qu'il lui faisait mal. Il la plaqua sur le lit.

« Pardonne-moi. »

Le soleil se levait. Donna dormait, épuisée. Lui, se leva doucement. Il caressa les cheveux de sa bien-aimée endormie. Et il baissa la tête pour déposer un tendre baiser sur son front. Puis il se dirigea vers la porte. Isabelle se réveillait. Elle clignait des yeux … Les ouvrit, leva son corps et le vit. L'amour de sa vie. Mais il partait. Non … Elle avait deviné ce qu'il lui était arrivé. Elle avait deviné sa nature de vampire au contact de sa peau, de sa force et de sa beauté …

« Non ! Felipe ne fait pas ça ! Felipe … Felipe ! Non ! Ne fais pas ça ! Reste ! »

Sans même se retournait, il ouvrit la porte et sortit. Et comme s'il n'avait été que poussière, il fut balayé en un tas de cendres par les rayons du soleil. Sa vie s'était terminée lorsqu'il avait été mordu … Mais son amour, lui, se finit dans un hurlement. Un hurlement de femme en détresse !

« Feliiiiiipeeeeee ! »

II/Je suis différente ?

Donna apprit, quelques mois plus tard, qu'elle était enceinte. Enceinte d'un vampire mordu. Elle paniquait … Elle ne savait pas comment serait l'enfant. Se nourrirait-t-il de sang ? Craindrais-t-il la lumière du jour ? Elle était littéralement perdue. Et d'où sortira-elle l'argent pour élever son enfant. Elle décida avant tout de s'arranger pour savoir comment sera l'enfant qu'elle accouchera. Ensuite elle verra pour le reste. Elle partit un soir dans la forêt et si perdit volontairement. Prisonnière des bois, elle attendit qu'un vampire assoiffé s'approche d'elle. Ce qui ne tarda pas. Un vampire d'apparence jeune, blond, s'avança vers elle, se léchant les lèvres.

« Ca devient rare de voir des humaines par ici le soir … Habituellement elles sont plus prudentes. A qui ai-je l'honneur de m'adresser ?

_Donna Rodriguez. Puis-je savoir aussi votre nom ?

_Je ne pense pas que se soit nécessaire …

_S'il vous plait ne me mordez pas. Je suis enceinte … Mais … Je suis consciemment venue dans cette forêt pour rencontrer un vampire. Je suis enceinte d'un vampire. C'était mon mari … Il a été mordu, et il est revenu me faire un enfant. Je ne sais pas ce que sera cette enfant ... »

Le vampire la regarda étonné. Il s'avança de la jeune femme, qui ne bougeait pas. Il se fixère un moment, leur visage était très proche, et aucun d'eux ne cilla. Le vampire posa sa main froide sur la joue de la belle Isabella.

« Ton enfant sera un simple humain... Mais … Il aura surement une grande beauté et quelques caractéristiques qui le différenciera des autres. Mais il sera plus qu'un simple humain. »

Et alors le vampire se retira, il disparut comme si de rien n'était. Comme si les ténèbres nocturnes l'avait englouti. Donna fut surprise que le vampire ne l'est pas mordu ...Mais elle décida de quand même de ne pas s'attarder. Elle trouva la sortie au bout de quelque temps.

Donna donna naissance à une ravissante petite fille rousse. Elle avait les yeux de son père et les cheveux roux de sa mère. Le vampire a eu raison. Elle était splendide, et le mot était faible. On la nomma Maria. Pour bien l'éduquer, Donna se maria avec un homme très rustre, mais malgré ses grognements, il était quand même gentil d'avoir accepté Donna et sa fille.
La petite grandit sans encombre. Elle était populaire à l'école, et personne se doutait que quelque chose dans son sang différenciait des autres. Elle se fondait dans la masse. Bonne élève, très belle, elle avait rien a se reprocher sauf d'être très solitaire. Elle n'avait pas d'amis … Certaine personne venait pourtant lui parler, mais elle ne s'attachait pas à eux. Et malgré que les autres la trouve simplement magnifique, elle se sentait différente. Elle n'était pas comme les autres.
La vue du sang ne l'a jamais dérangée, au contraire, il lui arrivait de se rendre compte qu'elle trouvait ça magnifique … Quand elle se regardait dans une glace, elle trouvait sa beauté bien étrange. Elle court plus vite que la moyenne et même plus vite que les garçons, elle est rapide et elle a le niveau des champions de Marathon en course. Autre chose, ses cheveux rosissaient de jour en jour. Tout étaient si étranges. Des détails certes … Mais d'étranges détails.

Un soir, en rentrant, elle en parla à sa mère pendant qu'elle préparait le souper. Donna fut surprise que sa fille lui parle de cela si jeune. Elle posa ses ustensiles et s'assit en face de Maria.

« Maria, il faut que je te dise la vérité ... »

Donna lui raconta tous, même le passage avec le vampire dans la forêt … Elle espérait que sa fille soit compréhensible. Et elle s'étonna de voir Maria, à peine surprise, à peine triste. La jeune fille restait neutre. Comme si elle avait toujours su l'histoire au plus profond d'elle.

« Au fond sa me soulage de savoir que Antoine n'est pas mon père …

_Ne dis pas ça … Malgré son caractére désagréable, il a été bon avec nous … Tiens le voilà qui arrive. »

Le silence se réinstalla dans la pièce tandis que le beau-père arrivait. Il s'assit à la place de Isabella et dit :

« J'ai faim ! Sers moi ! »

III/ Pro-vampires

Maria Angeles avait dix-neuf ans. Sa mère était morte il y a quelques mois, donc, juste après l'enterrement, elle a fuit de chez son beau-père, ne trouvant pas de bonnes raisons de rester auprès de ce rustre personnage. Elle habitait dans un appartement, simple, pas trop spacieux, mais pas extrêmement petit non plus. Maria vivait plutôt bien seule. Elle adorait sa solitude et le calme que cela lui procurait. Elle avait appris récemment qu'une coalition s'était organisée. Un certain Sulivan Herns, avait organisé celle-ci pour venir a bout des vampires. Maria trouvait ça ridicule. Les vampires devaient bien se nourrir … Pourtant, elle comprenait ces gens qui était repoussés par la nature vampirique. Il est vrai que, tuer des innocents ainsi, était très sauvage et meurtrier. Elle décida alors de regarder, en restant dans son coin … Ces histoires ne la concernait pas … Pourtant, son père était un vampire mordu et il n'avait pas mordu sa mère, ni tuer … Alors, quelque chose dans cette coalition ne tenait pas la route. Enfin, d'après Maria.

Un jour, alors qu'elle s'était évadée dans un livre, dans le parc près du bois, elle vit que le soir était tombé. Elle n'était jamais resté aussi tard dans ce parc, où elle avait l'habitude de s'y reposer et d'y lire. Elle se leva un peu anxieuse de se trouver seule dans cet endroit, devenu lugubre. Elle commença à avancer, rapidement, vers la sortie, lorsqu'elle fut arrêtée par une masse, sortie de nulle part. Elle était apparue devant elle, si rapidement, que Maria se demandait si elle n'était pas dans un rêve. Elle devina, immédiatement, la nature de cette masse sombre. Un vampire. Elle déglutit. Elle ne cessait de se dire que son père était de la même race, qu'elle n'avait rien à craindre, pourtant elle tremblait. Le vampire avait les cheveux d'un blond vénitien attirant. Il était magnifique. Si bien que Maria ouvrit la bouche malgré elle. Après avoir bien admiré le vampire, elle remarqua qu'il avait dans ses yeux une lueur envieuse, comme celle de la folie. Il s'approchait de plus en plus vite, et il souriait, laissant découvrir ses dents blanches et aiguisées. Des dents servant à mordre. Maria cessa de respirer … Elle était terrorisée.

« C'est dommage de perdre une si belle proie. Mais … Ton sang … a une si bonne odeur. Il est différent de celui des humains habituels. Il est plus … attirant. »

Et en un éclair, le vampire se trouvait dans son dos. Elle sentit sa langue froide gambader sur son cou. Cachant sa panique, Maria répondit d'une voix légèrement tremblante mais assurée.

« C'est normal. Je ne suis pas une simple humaine. »

Le vampire s'arrêta de lécher son cou. Il l'a tourna et la regarda.

« Mais t'es quoi au juste ? …

_Une humaine. Mais fille de vampire mordu et d'une simple humaine. »

Il s'éloigna d'elle, comme pour résister …

« Serais-tu la fille de Donna Rodriguez.

_Comment le savez vous. »

Il ne répondit pas. Et alors, Maria vit dans les yeux du vampire une expression humaine qu'elle connaissait bien. L'amour. Le vampire lui demanda se qu'il était advenu de sa mère. Elle répondit, avec tristesse, qu'elle était morte. Le vampire la fixa. Maria était persuadée que si il le pouvait, il aurait pleuré. Elle voulut s'approcher comme le consoler, mais il recula.

« Pars. Pars avant que je ne perde le contrôle. Il faut que tu es conscience que ton sang a une odeur plus alléchante que les autres. On te sent de loin. Alors pars et ne sors pas la nuit si tu ne veux pas mourir sous les dents d'un des miens. »

Maria ne se fit pas prier. Elle partit en courant, mais elle jeta un coup d'oeil derrière elle … Le vampire avait disparu.

Une fois rentrait chez elle, Maria pleura. Elle ignorait pourquoi. La peur, la haine, le fait d'avoir trouvé une trace de sa mère chez ce vampire … Elle respira un bon coup et prit une décision. Elle savait que beaucoup de gens était contre cette coalition, et que ces gens aimaient les vampires. Alors elle décida de se mesurer à Sulivan Herns. Elle avait vu que les vampires aussi avait des sentiments. Et au fond, ils étaient bon … Son père, ce vampire qui l'a épargnée … Oui elle leur devait bien ça. Les vampires n'étaient pas des bêtes rustres avides que de sang. Non, ils sont bons et dépendent du sang... Et ils sont si … beaux.
La main de Maria passa, machinalement, sur son cou, à l'endroit où le vampire l'avait léchée … Alors son sang serait plus désirable que celui des simples humains … Elle souffla, il faudra qu'elle soit prudente.



Autre ? :
Jolie Histoire. Ce forum me promet de bons rp. J'aime ^^. Et je trouve les smileys trop kawaii

Excusez moi pour le triple poste ... ^^
Donc voilà terminée ! Relue, modifiée, calculée ! Bon la longueur à fait que je n'ai pas super bien écrit l'histoire. Désolé ... mais je ferais mieux en rp ;P Donc j'espère que ça vous plaît. Comme vous le voyez Maria est un personnage que j'ai beaucoup travaillé et pour lequel je me suis beaucoup investie. J'espère que vous verrez tous cela dans ma fiche ^^ Et super le fo', le scénario m'a vraiment beaucoup plus.

Ce n'est pas grave ^^ Je te l'ai dit ce n'est pas la base de mon personnages d'être chef et que ça ne me dérangerait pas si cela m'était refusé.

Ok pour les prénoms ^^ Je les avais pris sur un coup de tête alors je peux recommencer ^^ Merci pour ma validation ^^

EDIT: Cette relecture m'a permis à trouver des fautes que je n'avais pas vues. ^^ J'espère que ça ira Felipe et Donna

Amélia ... T'as du venir voir alors que je n'avais pas fini d'éditer parce que j'ai changé ^^