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 Présentation d'Evgenia

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MessageSujet: Présentation d'Evgenia   Présentation d'Evgenia EmptyMar 6 Juil - 0:45

Nom : --
Prénom : Evgenia


Âge : 178
Orientation sexuelle : Bisexuelle
Rang : (Originel, Mordu, Hybride) Mordue
Statut au sein du groupe : (Bras droit, espion, traitre...) Mercenaire


Physique : (10 lignes minimum) Le visage longiligne d’une pâleur de mort glace tous les mortels qui croisent le chemin de cet être articulé mais dont le regard mordoré ne laisse entrevoir aucune lueur qui pourrait faire présumer une âme. Mais ces êtres vils, qui ne sont à ces yeux flegmatiques que du bétail qu’il faut mener à l’abattoir, une fois les premiers frissons d’étonnement inquiets passés, repoussent leurs réserves pour s’enfermer dans une contemplation admirative de ses traits. Par sa nature de vampire, le sacrifice de son âme lui valut une certaine beauté, commune d’ailleurs aux yeux de ses pairs. Son cou fragile et élancé palpitait encore au rythme des derniers battements de son cœur d’humain, follement, frénétiquement. Ses membres minces, à la chair plus dure que le marbre, se lient et se délient dans des mouvements fluides. Tous son être présage une fausse indolence, du mouvement de ses bras et de ses jambes à ses lèvres, pourtant ordinaires, qui de leur couleur cramoisie de sang frais paraissent douces et pleines. Le seul élément de son être qui jure avec cette délicate apparence languissante est sa chevelure enragée, de ce coloris sombres et agressif, qui s’enflamme d’éclairs d’argent, s’enroule, se déroule autour de ses épaules, danse dans le vent.

Caractère : (10 lignes minimum) Malgré son apparence de douceur inoffensive, Evgenia est une très jeune vampire encore torturée par cette faim impérieuse qu’on ne lui a jamais appris à apprivoiser. Par cette inextinguible soif, son caractère, qui aurait pu retourner au calme de sa vie humaine, à la pieuse patience qui avait déjà été sa caractéristique primaire, se voyait déformé en quelque chose de très instable, tourmenté et traître. Contrôlée par ses instincts bestiaux, elle s’attaque sans pitié à tout être qui peut pour quelques instants apaiser ce douloureux sentiment de vide qui l’accompagne par delà les frontières et les mers. Elle ne sait faire la différence entre le sang humain et celui d’une vache quelconque. Pourtant, le danger réside dans le fait qu’elle n’expose point son agressivité de manière ouverte. Sournoise, elle a appris dans les premières années de son existence de damnée que son plus grand atout est son apparence qui aux yeux des mortels semblaient hors de l’ordinaire. Elle charme par ses paroles souvent si véridiques qui s’allient à ses lèvres molles et son regard embué, sa voix doucereuse s’immisçant dans l’esprit des mortels et les menant vers leur mort.


Histoire : (20 lignes minimum) Elle était née à St-Petersburg, dans une famille de marchands russes, de médiocre condition, qui était constituée d’encore huit bouches affamées. Elle vécut ses jeunes jours de fillette pendant les noirs années 1840, sous le joug de l’aristocratie et d’une monarchie qui se plaisait plus aux voyages en France, aux bals et au luxe tapageur qu’à leur devoir de guide du peuple. Pourtant, comme beaucoup d’enfants qui ne connaissent que la pauvreté, elle ne développa jamais l’esprit arriviste de ses femmes qui désirent par tous les moyens s’élever, malgré sa joliesse qui aurait pu lui assurer un marchand riche et bien établi comme mari. Ses seules prétentions furent une minuscule croix en argent qui lui avait été offerte par une riche parente de sa mère lors de son baptême et une robe simple, en cotonnade bleue, sa meilleure, qu’elle portait les jours d’église. Ainsi, sa vie se résumait à l’église qu’elle fréquentait si souvent, plus d’une fois par semaine, comme la pieuse orthodoxe qu’elle était, et sa demeure dans laquelle elle passait le plus clair de son temps à tremper des textiles dans différents tonneaux de peinture avec sa mères et ses cinq sœurs. Elle était d’une douceur et d’une gentillesse telle qu’aucun n’aurait pu lui souhaiter de mal. Lorsqu’elle eut douze ans, un autre enfant vint rejoindre leur famille qui s’approchait presque de l’indigence, un deuxième frère, Piotr, qui lui échut comme responsabilité. Puis les années passèrent, son frère ainé et ses cinq sœurs quittant la maison petit à petit, pour aller répandre leur pauvreté dans d’autres quartiers de Petersburg, la laissant derrière, avec un père qui souffrait de la goutte, une mère tuberculeuse et Petrouchka, gamin turbulent de cinq ans à qui une éducation qu’Evgenia elle-même n’eut jamais reçu devait être assurée. À dix-sept ans, elle travaillait pour un boulanger tyrannique, les affaires de son père s’étant depuis longtemps éteinte comme une vieille chandelle, et assurait la survie de sa famille, mais cet humble apport qu’elle faisait à leur vie commune ne suffisait nullement à l’éducation de Piotr, qui déjà à cinq ans lisait comme un pope et calculait comme un usurier. La seule idée qu’elle eut fut de mettre cette croix qu’elle aimait tant en gage à un usurier qui lui en donna beaucoup moins que ce qu’elle valait, mais qui, avec sa robe vendue, lui permettrait d’acheter à son cadet bien-aimé cahiers, crayons et de lui permettre, déjà s’ils se plaisaient à singer pope et usurier, de devenir l’un ou l’autre.
C’est alors, à dix-sept ans, qu’elle rencontra Alexey Sergeyevitch Karamazinov, un jeune homme qui « avait des idées » (pour ne pas dire des idées révolutionnaires), et qui entre deux pamphlets satyriques sur la monarchie et l’aristocratie, enseignait aux enfants de marchands l’écriture, la lecture et le calcul, se permettant d’ajouter à leurs connaissances une base d’histoire, de sciences naturelles et même de philosophie, aussi jeunes que soient ses élèves. Ils ne pouvaient s’empêcher de leur répéter que l’ignorance est un péché (pas qu’il croyait au Seigneur, et dans le meilleur des cas, le Christ était un grand sophiste) et que leur existence même, d’esclaves de l’aristocratie en était l’expiation. Si cela ne concordait nullement avec l’acceptable, au moins avait-ce la vertu de faire étudier ses élèves comme des possédés.
Il était jeune, idéaliste. Et Evgenia était un sujet parfait pour ses exaltations, si sensible, ignorante, indigène et pieuse. Il se plaisait à la retenir lorsqu’elle venait prendre Petrouchka, qui d’ailleurs se plaisait à tenir des discours d’une horreur comique à ses parents depuis son entrée à l’école. Alexey aimait entretenir la jeune fille sur les progrès du garçonnet qu’il trouvait sincèrement brillant. Son regard bleu et bienveillant comme celui d’un enfant goûtait le plaisir espiègle de chercher les yeux de cette jeune femme rougissante lorsqu’il marchait à ses côtés pour lui conter les nouvelles fantaisies du gamin qui gambadait par les rues, laissant sans protection sa sœur qui se voyait charmée par ce grand homme mince et blond. Il s’étonna qu’elle ne sache lire, s’intéressa à sa famille mais n’osa jamais s’approcher trop de cette femme qui ne levait jamais ses yeux vers lui et qui parait comme une gamine. Il s’en était outrageusement épris, comme seulement un homme avec des prétentions intellectuelles le pouvait. Et maintenant, entre les pamphlets satyriques et les enfants de marchands, il se trouvait des moments pour laisser ses pensées le porter vers cette petite chose fragile et ignorante dont les genoux devaient bien souffrir sur le sol froid des églises.
Il la prit quatre ans plus tard. Il prit une vieille fille pieuse de vingt et un ans, belle et pauvre. Piotr était parti vers le séminaire, Alexey y avait veillé malgré sa répugnance pour les choses religieuses. La mère de sa belle, après la mort du chef de famille, partait vivre avec sa fille ainée et enfin, il se voyait confier des tâches pour la cause qui lui tenait le plus au cœur, la cause du peuple russe et il avait le loisir d’enseigner à Evgenia toutes ces choses que l’église lui avait caché. Mais bien sûr, comme tous les hommes déchaînés de cette Russie pourrie par le luxe, la police, organisation qui combattait la justice que revendiquait les pauvres pour protéger les intérêts des riches et puissants, sut bien comment démanteler ces quelques bégaiements révolutionnaires. Et Alexey, aussi intellectuel et passionné qu’il était, se retrouva comme tant d’autres plus jeunes, plus intellectuels et plus passionnés en route vers les camps de la Sibérie. Mais comme bien peu d’autres, il eut une femme dévouée qui abandonna leur petit appartement confortable de Saint-Petersburg et dans une mantille qui ne saurait supporter les hivers arctiques s’embarqua, ses yeux sombres plongés dans ceux de son époux, vers la Sibérie dont elle ne reviendrait pas vivante.
La Sibérie était sauvage et nouvelle. Vivante, grouillante d’animaux féroces et d’hommes tout aussi féroces. Evgenia et Alexey vivaient dans une sorte de mansarde qu’il réussit à se procurer Dieu sait comment. Il souffrait de son exil et se tournait vers la seule chose qui lui restait pour lui rappeler son socialisme, ses désirs de renouveau, son épouse calme et douce qui s’accommodait de tous leurs malheurs comme elle avait accepté leurs bonheurs. Son amour outrageux devient obsessif. Il ne la quittait point, il l’accompagnait où qu’elle aille et exigeait qu’elle en fasse tout autant. Son nouveau désir de chasse, qu’il savait bien blessait Evgenia, si sensible à la souffrance des vivants, était sa manière a lui de passer sa colère et même qu’il prenait un certain plaisir à voir de petites larmes perler sur les paupières de son épouse. Et il en fut puni. À l’âge de vingt-quatre ans, elle mourut. D’une balle dans la gorge, lorsqu’elle voulut détourner le canon de son fusil braquer sur une biche accompagnée de son faon (peut-être des orignaux). Le sang teintait la neige, si rouge sur la pureté blanche. Comme les lèvres sur le visage pâlissant d’Evgenia, dont les cheveux se couvraient de flocons de neige. Il criait, il venait de tuer la seule chose qui importait. Non. Elle n’était pas morte, ses lèvres s’entrouvraient, ses yeux roulaient dans leurs orbites. Elle se noyait dans le sang de sa plaie, mais il restait quelques instants, quelques instants cruciaux qui pourraient la sauver peut-être. Le rêve d’un insensé. Elle se mourrait d’une blessure que même un médecin de Moskva n’aurait pu guérir. Il saisit le petit corps que la chaleur de la vie quittait. Ses yeux rivés sur les lèvres mouvantes d’Evgenia, Aleksey courut à travers les bois enneigés, passa la maison de ces quelques malheureux innocents qui comme lui expérimentaient la cruauté de ce pays maudit. Mais lui, il ne l’était plus. Il n’était plus innocent, il venait de commettre un crime. Un crime passionnel. Son cri de fauve blessé, ses yeux hagards et ces chiffons ensanglantés qu’il portait entre ses mains, comme une poupée grandeur nature attirèrent les regards des hommes qui passaient les rues de ce qui pouvait être un village, certains autres sortaient leur tête par les fenêtres de différentes vieilles maisons décrépites. Il criait un nom étrange, pourtant bien connu. Le nom d’un homme sombre, d’un Allemand qui ne se mêlait jamais parmi ces rustres ivrognes russes et qui passait pour être médecin … et suppôt de Satan. Quand Aleksey arriva enfin devant la porte qu’il cherchait, la seule porte de tout cet amas de déchets qui tenait dans son cadre, celle-ci s’ouvrit d’un coup et il s’y engouffra dans la noirceur de la demeure amenant avec lui un mauvais vent glacial. L’homme qui se tenait devant lui ne portait qu’une simple chemise dans un pays où dormir sous seulement une peau de loup assurait une pneumonie. Sa peau était de la même teinte que celle d’Evgenia, une teinte tellement exsangue qu’elle faisait sembler la neige grise. Mais Evgenia mourrait et cet homme était vivant et d’une beauté sinistre. Son regard clair lançait des éclairs vers cet homme qui avait osé proférer son nom si ouvertement et qui lui amenait ce jouet brisé.

« Je ne peux rien pour elle. »

Sa voix était si cristalline, comme un cours d’eau printanier. Néanmoins, tranchante comme un couteau de boucher. Elle était sans équivoque, ne laissant aucune place à l’espoir. Son poids sur les épaules de cet homme démoli fit flancher les genoux de celui-ci et Aleksey tomba sur ses genoux, dos à la porte, ça femme dans ses bras comme une brebis sacrifié devant un autel. Et pour la première fois de sa vie, il se tourna vers le Seigneur.

« Si tu existes, Dieu, tu prendras ma vie et tu laisseras vivre Evgenia. »

Sa voix était étouffée par les larmes et toutes ces autres paroles qu’il aurait voulues lancer à ce Dieu qu’il croyait mort depuis longtemps.
L’Allemand le regardait, ses yeux azurs jetant des éclairs en tout sens, des éclairs de joie mauvaise.

« Ne dis pas ce genre de choses. Tu n’es pas sincère, tu ne donnerais pas ta vie pour elle. »

Le malheureux ne fit que lever son regard vers ce cruel bourreau, portant une attention particulière au gargouillement qui s’échappait encore de la gorge de sa femme bien-aimée. Elle était encore vivante. Elle allait mourir et il allait la suivre dans la mort. Il avait laissé son fusil dans le bois, dès que ces grands yeux qu’il adorait comme certains adoraient un Dieu sourd et aveugle arrêteraient de tourner dans leurs orbites, il retournerait vers le bois et la suivrait sur ce chemin d’obscurité vers lequel il l’avait précipité.

« Si tu donnes ta vie, je peux la sauver. »

Il ne comprit rien. Il comprit tout. Il devait mourir pour qu’elle vive. C’était la loi. Sa mort la ferait vivre. C’était mathématique. C’était logique.

« Donne-moi un couteau, un fusil … »

Le médecin rit.

« Je te préviens pourtant. Si tu l’aimes, tu ne la retiendras pas dans ce monde. »

Vivre. Elle allait vivre s’il mourrait. Elle allait rire, elle allait chanter les matins quand elle servait le thé. Ses pensées s’écrivaient sur son visage et l’homme blond qui lui faisait face n’avait aucun besoin de perspicacité pour les déchiffrer.

« Tu n’écoutes pas, homme. Elle ne rira, ni ne chantera. Elle ne ressentira plus jamais le souffle du vent qu’elle aimait tant. Sa peau sera de marbre. Elle ne goûtera plus les pommes qu’on lui portera. Elle ne pourra plus jamais mettre un pied dans ces églises qu’elle aimait visiter. Même une croix devant ses yeux la torturera. Tu désires la damner car tu ne peux ni vivre ni mourir en sachant que tu l’as détruite. Tu ne l’aimes pas, tu agis par culpabilité. Dis-moi que tu désires la damner et je la damnerai, mais tu donneras ton sang pour mon rituel. Elle ne vivra pas, elle parcourra ce monde comme un corps sans âme. Elle tuera tous ceux qui traverseront sa route, essayant d’étancher une soif impitoyable qui la tirera vers la tombe sans jamais lui permettre la paix de la mort … »

Aleksey leva vers cet homme un corps brisé dont les yeux arrêtèrent de rouler à l’instant précis que des mains étrangères la saisirent. Elle suppliait à l’intérieur d’elle-même, mais il n’y avait personne pour entendre ses prières, Dieu était aveugle et sourd.
Aleksey n’avait jamais remarqué comment les canines de ce médecin étaient longues et pointues quand il souriait de cette manière narquoise et moqueuse.
Après une semaine, les maisons qui entouraient celle du médecin Allemand se vidèrent d’hommes portant des torches enflammées. Il y avait déjà une semaine qu’un homme et un cadavre étaient entrés dans la demeure du médecin et rien n’en était ressorti. Ni le médecin allemand, ni le petit monsieur qui aimait chasser … ni le cadavre … La porte de la demeure fut défoncée sans même qu’on eut cogné, tant on savait que quelque chose de funeste allait être découvert. Et en effet, on y découvrit un cadavre. Le cadavre d’un jeune homme grand et mince, blond et Russe à la peau plus pâle que la neige. C’était le Pétersbourgeois. On aurait dit qu’on avait vidé tout son être du sang qui donnait la vie. Il n’était qu’une poupée désarticulée dont le visage était contracté en un rictus qui ressemblait à un … sourire.

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Dernière édition par Evgenia le Mar 6 Juil - 2:15, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Présentation d'Evgenia   Présentation d'Evgenia EmptyMar 6 Juil - 1:39

Bonjour et bienvenue Evgenia !
Bon alors, déjà : Wow ! OO
J'adore ton style d'écriture, franchement, chapeau... **

Le nombre de lignes y est, la logique également, pas vraiment de fautes d'orthographe, l'histoire me convient, mais j'ai tout de même un petit truc à dire. Ton histoire est très réaliste, j'ai beaucoup apprécié cette lecture, un peu plus encore parce que j'aime la Russie ^^
Bref, je m'égare.
Dans toute ton histoire, on n'entend pas franchement parler d'Amélia et de son clan, or je remarque que tu es combattante. Donc je me dis que tu peux peut-être être mercenaire : tu n'embrasses pas vraiment la cause d'Amélia, mais tu la rejoins "par défaut", ou je ne sais trop.
A moins que tu apportes des précisions par la suite, lors de tes rps, je ne sais trop...
A toi de m'éclairer sur ce point ^^

Sinon, vraiment : félicitations pour ton style d'écriture ! J'adooore x]
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MessageSujet: Re: Présentation d'Evgenia   Présentation d'Evgenia EmptyMar 6 Juil - 2:14

Oh merci, merci beaucoup, Amélia! Je vais être franche, quand j'ai découvert ce forum, je suis tombée follement amoureuse mais j'ai eu si peur car j'ai lu quelques uns des posts ... et franchement, le niveau est élevé ... Ce sont surtout les tiens qui m'ont inquiétée car c'était la première fois que je voyais une "rpg"iste écrire aussi bien. Donc j'ai donné mon 100% et tu m'as tellement soulagée par ta réponse.

Pour ce qui est de devenir mercenaire. Tu vois, je me suis référée aux statuts disponibles sur le site. Je ne savais pas que j'avais le droit à un autre rôle, donc tu fais mon bonheur pour la seconde fois. J'accepte avec soulagement ta proposition et te remercie. Alors va pour mercenaire!
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MessageSujet: Re: Présentation d'Evgenia   Présentation d'Evgenia EmptyMar 6 Juil - 2:21

*choquée xD*

Heureuse d'apprendre que le forum te plaît ! J'en suis ravie ^^
Bah dis donc, merci du compliment, mais je ne suis pas certaine de le mériter ; je trouve que tu écris bien mieux que moi, et encore, "bien mieux" est un euphémisme °°'
Enfin bon, contente de voir que j'ai apporté un point positif xD

Heureusement, une nouvelle fois, de faire ton bonheur ^^ Ça marche, je te mets mercenaire <3

Bon, et bien je n'ai plus rien à dire, si ce n'est que, tout naturellement, tu es validée !

Je m'empresse de t'ajouter au groupe de mes p'tits Vampires chéris **
Et puis sinon, tu n'as plus qu'à remplir ta feuille d'Identification, et à faire une demande de lieu de vie ^^

Bon rp parmi nous ! <3
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