Hum... Je collectionne plusieurs choses... Couture,, dessin, graphisme, poésie...
Je vais mettre le la poésie ce soir, j'ai envie.
(Et c'est ce que je fais le mieux, c'est vous dire... xD )
Le joueur de flûte et la pays des merveilles.
Garçons et filles de tout âges,
Suivez moi pour ce long voyage,
Le pays des merveilles nous ouvre ses portes !
Et vous appel de la telle sorte,
Qu'aussitôt vous me suivez,
Un joueur de flûte halluciné.
Je vous emmène dans ce pays.
Pas de retard ! Lapin blanc n'avais pas compris,
Que la reine coeur est fort sévère,
Qu'elle aime les règles, et que ses affaires
Préférées sont les belles exécutions.
Ne lui faites pas ce plaisir, mes chers enfançons !
Je vous accompagnerais durant quelque temps,
A l'intérieur du pays des innocents,
Je profiterai encore un peu de vos sourires,
Puis ferai demi-tour pour ressortir.
Car quiconque y mange ou bois, a jamais
Dans le pays imaginaire reste emprisonné.
Alors beaux enfants, jeunes et inconscients,
Profitez du pays de vos derniers instants.
"Bye bye !"
Halloween town.
Ferme les yeux, laisse toi porter,
Dans un monde où la justice n'a pas de place.
Dans un monde où il ne reste plus trace,
De la moindre notion d'humanité.
Ici il fais froid toute l'année.
C'est une perpétuelle famine.
Tout le monde fais grise mine.
Même l'espoir a déserté.
Il y a des monstres a tout les coins de rues,
Mais pas forcément ceux qu'on croit avoir vu.Au milieu de tout ça,
Ma tête sous le bras,
Je passe et je trépasse,
Et jamais ne me lasse.
Dieu ! Quel sacré spectacle que cette ville folle !Cette mère fais cuire son enfant,
Pour le repas de demain.
Si la prévôté viens a frapper,
Croyez vous qu'on l'arrêtera ?
Il aura fière allure, le sergent,
La chapeau piteusement a la main,
Il proposera son silence en échange d'un souper.
"Vous préférez une jambe où un bras ?"
Il y a des monstres a tout les croisements,
Mais pas forcément très laid physiquement.
Au milieu de tout ça,
Ma tête sous le bras,
Je passe et je trépasse,
Et jamais ne me lasse.
Dieu ! Quel sacré spectacle que cette ville folle !A la nuit tombée,
Le quartier devient dangereux.
Dans ce sous-sol ténébreux,
Se tient l'orgie de deux droguées.
La maturité pour ces âmes damnées,
La plus grande réclame sa liberté.
Avant de planter son couteau dans sa soeur,
Susurre : "Bientôt un monde meilleur."
Il y a des monstres, un ptit peu partout,
Mais les pires de tous, je crois que c'est vous.Au milieu de tout ça,
Ma tête sous le bras,
Je passe et je trépasse,
Et jamais ne me lasse.
Dieu ! Quel sacré spectacle que cette ville folle !Cette bande attaque un vieux rabougris,
Pour lui voler sa bourse bien pleine.
Sans se douter que sous son long manteau,
Le psychopathe cache un grand couteau.
On les retrouvera au matin gris,
Et on les reconnaîtra a peine.
Il y a des monstres, un ptit peu partout,
Mais il ne sont rien par rapport a nous.Au milieu de tout ça,
Ma tête sous le bras,
Je passe et je trépasse,
Et jamais ne me lasse.
Dieu ! Quel sacré spectacle que cette ville folle !La sorcière et le fossoyeur.
Ou l'effet boule de neige.
C'est une histoire d'il y a fort longtemps,
Qui se déroule dans un très petit village,
Où vivait une toute jeune enfant,
Prétendue réincarnation d'une sorcière sans âge.
Pauvre petite, pauvre Margaux !
Sous couvert d'aider les villageois,
Ses deux parents, dans son dos,
S'enrichissait sur cette foi.
Mais son don était bien réel,
Et il était sans répit quémandé,
Si bien que l'enfant à la voix de crécelle,
Jour après jour, un peu plus se mourrait.
Un petit garçon, le fils du croque mort,
Soupirait en silence pour la maléfiçiante.
Mais la jeune fille qui changeait le plomb en or,
Pensât "Appât du gain !" et se montrât méfiante.
A force de patiente, il parvint a la séduire,
Il lui parla, et elle, se confia avec un soupir,
De ses avares parents, d'elle condamnée a mourir.
Le fossoyeur, pas si fou, l'enjoignit a s'enfuir.
Elle refusa. Dépité, il repartit.
Abandonnée a son sort, elle reprit son ouvrage,
Et continua soins et consultations avec grand courage.
Jusqu'au jour où un enfant naquit.
Le bébé avait 3 têtes et ne vécu que 3 heures,
Mais déjà, tous soupçonnaient la sorcière du malheur.
En un conciliabule, réunit un beau soir,
Les villageois tranchèrent de sa mort au fond d'un bar.
Par le fils du croque mort a l'oreille bien pendue,
La belle enfant aussitôt fut prévenue.
Prit vite quelques baluchons, puis avec son amant,
Bras dessus, bras dessous, prit la clef des champs.
Les chiens après elle lâchée, les rattrapèrent rapidement.
Le garçon, petit malin, échangeât avec elle ses vêtements,
Et ils se séparèrent. Les chiens qui cherchaient la fille,
Suivirent son odeur, celle provenant des guenilles.
Que portant le garçon. Ils le rattrapèrent,
Ils le mirent en pièces, se roulant dans son sang,
Le dévorèrent, éparpillant entrailles et morceaux de chairs,
Le rendant méconnaissable, même aux yeux de ses parents.
Et la sorcière s'enfuit, enfin libérée, pleurant et riant,
De la mort et de la naïveté de son chevalier servant.
L'Iris qui rêvait d'amour.
Je te laisse une place, une porte ouverte au cœur de mes rêves.
Je te laisse la mains mise, use de cet Eden comme il te plaît, oh Ève.Mes rêves prennent racines dans une ville joyeuse,
Aux couleurs chamarrées, où l'ombre n'a pas sa place.
Une ville emplie de doux sons, d'odeurs et d'étoffes soyeuses.
Au milieu de laquelle pousse une tour de glace.
. Ma tour blanche, notre tour d'ivoire.
. Dont le somment échappe a tout regards.
--------- Et dans ce bel Eden, toi Ève, moi Adam,
--------- Notre chambre sera là, dans la tour.
--------- Une pièce aux teintures noires et coussins rouges.
--------- Dans ce bel Eden, très chère enfant,
--------- Nous vivrons paisible notre amour,
--------- Sans que rien autour de nous ne bouge.
Je m'ennuies, sans toi.
Je me nuis, sans toi.
C'est la nuit, sans toi.
Je m'ennuies de toi.Nous passeront mon rêve dans cette pièce obscure.
Je ne laisserait pas la vérité avoir de prise.
Je ne me laisserai pas voler ma déesse,
La réalité ne m'enlèvera pas ma promise.
. Et comme nous n'auront plus envie de nous réveiller,
. Je te prendrais dans mes bras, et te garderais, serrée, serrée, serrée....
--------- Contre mon cœur, jusqu'à ce que tu te rendorme.
--------- Juliette, tu dois rester avec Roméo.
--------- Car Roméo n'est qu'un sale égoïste,
--------- Je ne partage pas, Je suis un homme dans la norme.
--------- Je veux te garder pour moi seul ce que je trouve beau.
--------- Malheureusement pour toi, tu est dans la liste.
Je m'ennuies, sans toi.
Je me nuis, sans toi.
C'est la nuit, sans toi.
Je m'ennuies de toi.Et si la réalité te reprend finalement a moi,
Que me restera-t-il ? Je serai seul, si seul, si seul, si...
Dans notre petite chambre, et tu ne sera plus là.
Je ne pourrais que regretter, repenser a notre vie.
. Où nous étions heureux, ivres de nos entrevues.
. Dans cette si petite chambre, où l'on voyait sans être vus.
--------- "Tu avais promis de me protéger, de ma garder,
--------- Tout contre ton cœur, dans tes bras amoureux !
--------- Tu as failli, tu as rompu ta promesse ! "
--------- Je refuse d'entendre un jour ces mots, aimée.
--------- Je te protégerai, je l'ai promis, et nous serons heureux,
--------- Tout en haut de la tour de la princesse.
Je m'ennuies, sans toi.
Je me nuis, sans toi.
C'est la nuit, sans toi.
Je m'ennuies de toi.
S'il vous plaît, ne me réveillez pas.A suivre ? J'en ai une quarantaine dans le même genre. Partants ? xD