Invité
| Sujet: Makka <Finie> Dim 24 Oct - 22:15 | |
| |
|
Identité :
Personnage prédéfini ? :Non.
Nom : Pas de nom pour une sauvage. Qu'aurait-elle fait d'un nom, alors qu'elle n'en connaissait même pas l'utilité d'en avoir un. Elle ignorait même ce que ça signifie. Prénom :Makka. Nom d'origine des Grands Nord de l'Europe.
Âge :169 ans. Elle était encore jeune, comparée aux autres de sa race. Orientation sexuelle :Elle n'y avait jamais réfléchi. Mais tout portait à croire qu'elle était hétérosexuelle. Rang :Hybride. Fille d'un Loup Originel et d'une Lycanne Statut au sein de la meute :Combattante
|
Descriptions Physiques :
Apparence en tant que Loup :
“ Elle n'est que le trésor de l'innocence sauvage.“
Dans l'obscurité, on ne distinguait que deux grands yeux sombres, pétillants de vie. Son pelage encore plus sombre que ses yeux se dissimulait dans les ténèbres nocturnes. Alors que les loups sont plus souvent blancs, gris ou même encore brun. Makka possèdait ce rare pelage de ténèbres. Petite louve, elle était en dessous de la moyenne de taille. Lorsque la petite louve s'avançait dans la clarté de la lune, son pelage se distinguait un peu plus, grâce aux reflets grisâtres qui se formaient. Les rayons lunaires caressaient la courbure de son dos. C'était un bel animal, quoique un peu maigre. Mais ses pattes traçaient une forme musclé malgré leurs maigreurs. Petite louve hurlant à la lune, elle était splendide, mais elle ne savait pas créer l'épouvante et la frayeur que les loups étaient censés inspirer. Ses yeux sombres et son petit museau n'étaient pas agressifs. Le poil de Makka était long, représentant un atout lors des grands froids qui peuvent se produire en Russie. Les choses qui distinguaient cet animal des autres animaux, était son expression très humaine, et un collier d'argent que possèdait la louve. Au bout de cette chainette pendait un pendentif d'argent en forme de croissant de lune … Tout porte à croire que ce croissant était incomplet.
Physique en tant qu'Humain :
“ Beauté sauvage, jeune fille en perdition.“
Une jeune femme de petite taille, dépassant de peu le mètre soixante. Les atouts féminins bien développés, que ce fussent la poitrine ou les hanches, contrastaient un peu avec sa minceur. Ses jambes, malgré sa taille, étaient plutôt longues et musclées. Sans pour autant que ce fussent flagrant. L'un de ses charmes était sa chevelure. Sauvageonne et rebelle, ses cheveux possédaient un volume dû aux noeud qui s'y étaient imposés à force de battre la campagne et de vivre auprès de la nature. Mal coiffé, ils étaient pourtant splendide. D'un noirs profonds, ils respiraient la jeunesse. Ils encadraient un petit visage adorable qui possédait la pâleur que porte si bien les slaves. Mais sa peau lisse voyait sa pâleur s'accentuer à cause du noir des cheveux qui l'encadrait. Mais peu importait, car cela ne lui enlevait pas son expression adorable. Des longs cils grandissaient son regard, qui, pour sa part, était encore plus sombre que sa chevelure. Un regard si profond et sombre, que lorsque l'on si plongeait on tombait dans un gouffre sans fond. Son nez était petit et long, l'arrête suivait la douceur de sa peau. Plus bas, d'un rouge langoureux, ses lèvres contrastai dans la pâleur. Elles n'étaient pas gourmandes, mais elles avaient des commissures et des formes que l'on pouvait appeler parfaites. Ce rouge pouvait se retrouver sur son vêtement, qui était une robe de fine laine. Rouge, noir, blanc. Sang, nuit et innocence. Voilà ce qui la décrivait. Elle ne retournait pas le regard des hommes pervers qui cherchaient des mannequins de un mètre quatre-vingt. Mais lorsque le regard se posait sur elle, on pouvait l'admirer. Ces courbes, ces formes, cette fragilité, cette beauté … Oui, elle était adorable, même si elle ne représentait pas l'idéal féminin. Malgré qu'elle n'est toujours vécu dans la nature, ses traits ne s'étaient jamais durcis. Makka était, et sera toujours, l'innocente beauté sauvage.
Description Morale :
|
Caractère :
“Coeur farouche qui tremble sous l'ignorance.“
Makka avait une personnalité encore en cours de développement. Ce qui était étrange, voire même bizarre, pour son âge. Les personnes qui l'avaient côtoyée n'avaient pas réussi à la cerner. Car, elle observait, jouait, réfléchissait … Tel un enfant encore influençable. Pourtant, elle avait toujours dégagé une sorte d'aura, surement dû à sa joie de vivre. Oui, malgré sa personnalité encore maniable, elle montrait tout de même un fort caractère. Souvent enjouée, le sourire enfantin dominant sur son visage innocent, un rien avait toujours pu lui arracher un rire. Elle aimait par dessus tout s'amuser. Pour son âge, cela aurait pu tourné à la manipulation et aux mesquineries, mais jamais elle n'avait fait de mal à quelqu'un, elle n'était pas assez mature pour cela. L'innocence l'avait toujours dominée. Sous ce caractère d'enfant, elle cachait autre chose … Un fort caractère. Un caractère trop immaculé pour être compris. Lorsque l'on touchait à une chose à laquelle elle tenait. Si un de ses amis était blessé, si l'on faisait du mal sous ses yeux. Makka possédait une instinct, à part de son caractère habituel. Une autre facette d'elle-même, qui était violente et sans contrôle. La colère. Les personnes ayant aperçu cette facette de Makka, ne l'on jamais plus regardée comme avant. Car cette instinct, qui pouvait être qualifié d'animal, était incontrôlable. Quand avait-elle développait ça … On suppose que c'était lors de la période la plus sombre de sa vie. Lorsqu'elle avait été rejetée à cause de sa différence. Ayant toujours vécu seule, une tristesse incompréhensible par ceux qui n'ont pas vécu telle souffrance, c'était emparée d'elle. Et elle avait toujours vécue avec ce malheur, ce qui l'avait rendue très susceptible sur le sujet de la différence. Alors sous son air enjoué d'enfant, elle avait caché cette souffrance. Mais il avait toujours été agréable de passer un moment avec Makka, enfin … si cela ne déraillait pas.
|
|
Histoire :
|
| |
“Le passé n'est que le secret de l'avenir.“
I/ Une meute au Nord de la Russie.
C'était au coeur de ces grandes forêts souvent recouvertes d'un blanc immaculé. Dans ses grandes espaces denses du grand Nord de l'Europe, où les mystères et les légendes se font par milliers. Dont une qui nous intéresse particulièrement. Celle qui parle de grandes et majestueuses créatures qui, a priori, vivraient dans ces forêts gorgées de mystères. Ces créatures, bien plus grandes qu'un Homme, aux crocs plus tranchants que des sabres, aux yeux plus perçants que des lames, aux cris plus sourd que les tambours, aussi intelligentes que l'Homme. Oui, vu comme ça elles pouvaient paraître effrayantes. Pourtant, malgré cette apparences, elles exprimaient plutôt la majesté. Ces créatures à la forme de loups gigantesques sont, en réalité, plus que des légendes ou simples mirages dans ses bois.
Ces loups vivaient dans ses forêt depuis une éternité. Mais, ils ne sont pas aussi nombreux que l'on ne l'imagine. Avant le Moyen-Âge, ils étaient au nombre de quatre: deux femelles et deux mâles. Les parents et deux enfants. Ils vécurent et errèrent en Sibérie pendant bien longtemps. Les époques défilaient et le temps s'écoulaient. Leur plus grande crainte était l'extinction de leur noble race qui dominait les autres. Pourtant, le mâle principal du nom de Ilari, lui, semblait ailleurs et plus désinvolte à cela. Ce changement de comportement était fort étrange. Mais sa famille préférait cela à la période de déprime qu'il avait passé. Alors, ils acceptèrent de s'installer avec lui dans une de ses grandes forêts slaves. Ils prirent leurs repères, et ils furent très vite parti des légendes qui parcourraient ces bois. Ils dominèrent tout, mais, il possédait un secret. Le soir de pleine lune, la famille se retirait, et ne revenait qu'au petit matin. Leur secret était des plus invraisemblable et des plus merveilleux. Les soirs où le lune était à son apogée, ils prenaient forme humaine.
Mais, plus les jours passaient, jusqu'à devenir des mois et des années. Plus Ilari semblait renier sa famille. Ils était de moins en moins avec eux, et ça alla jusqu'à se qu'à une nuit de pleine lune, il ne la passa pas avec sa famille. Sa femme fut rongé par le désespoirs, mais elle n'osait rien dire. Quand à ses enfants, ils ne voulaient pas prendre partie. Ce manège dura une longue année, et un matin, Ilari revint avec une masse de couverture dans sa gueule. Sa famille se rua pour voir ce qu'il transportait, et ils virent une chose qui les figea. Un bébé. Un bébé endormi.
« Vous craignez l'extinction de notre race. Il y a des humains pas loin. Et je me suis rendue compte que lorsqu'on les mordait, ils deviennent des êtres mi-bêtes, mi-humaines, le soir. J'en ai créé une dizaine pour qu'il n'arrive jamais rien à notre famille. Ils nous obéiront, et c'est eux qui prendront les coups à notre place. Nous allons créer une meute. On se protégera tous. Mais n'oubliez pas … Notre trésor, c'est cet enfant. Que je nomme Makka. »
II/ La différence est tabou.
Mais qui était cet enfant apportait par Ilari … Esfir, sa femelle, était hantée par des questions, qui restaient sans réponses. D'où venait-elle ? Etait-ce sa fille ? Probablement … Ils ont les même yeux. Mais qui en était la mère … Une humaine ? Impossible … Il est bien difficile de se faire tromper. Surtout lorsque l'homme qui vous trompe en question, est le seul homme de votre race que vous connaissait et pouvait aimer. Ce fut comme cela que, l'innocente enfant, Makka, causa la mort de Esfir. Sachant que l'existence de cet enfant avait causé de nombreux dégâts dans la vie des gens qui se faisait mordre, pour poursuivre le reste de leurs vies à la protéger. Mais cela, elle ne le saura jamais.
Plus elle grandissait, plus il était difficile pour Makka de vivre auprès des loups. Surtout qu'elle n'avait pas le droit de se mélanger aux lycans de sa meute. Elle avait été condamnée à vivre avec les grands loups qui était, pour la plupart, les enfants de Klara et Rouben, eux même enfant de Esfir et Ilari. Vu comme cela, vous parlerez d'inceste, mais n'oublions pas que nous sommes chez les animaux. Makka, n'appréciait guère leur compagnie. Elle trouvait qu'il se sentait trop supérieur, et que leurs paroles étaient toujours tentées de prétention. Elle préférait la compagnie de ces animaux communs des forêts qu'on appelle loups. Oui, eux n'était pas comme ces créatures légendaires, déjà, ils étaient moins intelligents, donc ils ne pouvaient faire des mesquineries et des méchancetés. Il était agréable de faire une chasse sur leur dos, ou à leur côté. Elle aimait jouer et se roulait dans l'herbe avec eux. Pourtant, lorsqu'elle revenait vers sa meute, elle se sentait discriminée et rejetée. Quelques plaisanteries sur sa taille, sur sa personnalité enfantine. Et, même si elle l'avait toujours caché, elle en avait beaucoup souffert.
Ilari avait toujours voulu vivre auprès de Makka. C'était la seule personne qu'elle appréciait dans la meute. Pourtant, un matin, on retrouva son corps mort, il avait été assassiné. Personne ne connaissait le coupable, mais Makka était persuadé d'une chose : que c'était Rouben qui avait tué son père pour prendre le pouvoir. Ils se disputaient souvent en ce moment. Et tout le monde prenait Ilari pour un vieux fous … Sa disparition signifiait qu'une chose pour Makka. La solitude. Mais, cela allait aller plus loin. C'était grâce à la présence de Ilari que Makka faisait partie de la meute, et qu'elle était toujours en vie. Avec sa mort, ils se retournèrent tous contre elle. Et lors de l'enterrement, Makka vit leurs regards malsains posaient sur elle. Alors, lorsque se fut son tour de poser une fleur sur le mont de terre, et de faire un discours, elle ne s'attarda pas. Elle ne dit qu'une chose. “Je t'aime Papa.“. Et elle s'enfuit en courant.
Sa fuite était une aubaine pour la meute, ils n'avaient pas à se salir les mains pour la tuer. N'était-ce pas merveilleux ? Pourtant, Makka ne mourut pas sous la folie et la solitude ...
III/ Lorsque l'on casse avec ses racines.
“J'avais peur. Je ne savais pas ce que j'allais devenir. Mes amis ne pouvaient pas m'aider, ils n'étaient pas de taille. Je courus, courus, jusqu'à l'épuisement. Je sautais de branche en branche, mes pieds étaient écorchés par la vitesse. Je ne regardais pas derrière moi, je ne pensais plus, je me vidais. Jusqu'à en tomber d'épuisement.
A mon réveil, je me trouvais dans un endroit plus qu'étrange. Tout était fermé, je ne compris pas. Je voulus cassé ces murs. Je n'aimais pas cette sensation d'enfermement, je me frappais contre les murs, je voulais sortir respirer. Lorsqu'une voix m'arracha de ma folie.
« Stop ! Arrêtes ! Que fais-tu ? Arrêtes ! »
Je me retournai vers l'endroit où elle provenait. Un jeune homme se tenait dans l'encadrement, de ce qui semblait être une issue. Je fus surprise. Non, le mot est faible. J'étais choquée. Je me ruai vers lui, je le reniflai, je l'observai, le regardai un peu partout, même sous ses étranges bouts de tissu qu'il portait, ce qui semblait ne pas apprécier. Il finit par me pousser violemment et me regarder. Il me parla. Je comprenais ce qu'il me disait, mais je n'arrivais pas à lui parler. J'arrivais au moins à lui dire mon nom. C'était étrange, je n'avais jamais parlé, ou alors pas souvent, mais le fait d'être avec une personne qui me ressemble, c'était comme magique.
Nikita, de son nom, s'occupa bien de moi. Il m'apprit que l'endroit où j'étais enfermée était une pièce. En fait, il m'apprit tellement de chose que je ne peux pas toutes les énuméré. A parler, à m'exprimer, les coutumes humaines … L'amour. Oui, il m'apprit l'amour. Un sentiment que je n'avais jamais ressentit auparavant. Mais, je n'arrivais pas à lui dire … pourtant, il me l'avait appris.
Un soir, alors que nous lisions ensemble. Il me fit un cadeau. Un cadeau que j'ai toujours gardais. C'était un pendentif en forme de lune. La lune se séparait en deux, un morceau pour lui, et un pour moi. Ca représentait notre lien qu'il disait. Mais quel genre de lien. Pour le remercier, je l'embrassai. Il m'avait dit que lorsqu'on embrassait quelqu'un c'était synonyme d'un grand amour, alors ce fut ce que je fis. Puis, vint l'heure de nous coucher. Sauf que moi, je n'avais pas sommeil. Alors je partis dehors me promener sous forme de louve. A mon retour, quelque chose d'horrible arriva.
La maison de Nikita était plus belle. Elle était détruite. Prise de panique, j'entrai et je contemplai le désastre. Vide, détruite, saccagée … Sur un coin de la pièce, il y avait des traces de sangs. Je le reconnus à l'odeur … C'était celui de Nikita. Ce qu'on appelle larme coulait sur mes joues. Je suis partie, j'ai fui la réalité; J'ai couru encore plus longtemps que pour ma première fuite. Je me suis cachée sur le toit d'un de ces transports qu'on appelle train. Je me suis éloignée de ces tristes souvenirs. Pour arrivée dans une autre forêt. Une autre vie.“
IV/ Nouvelle vie ?
Makka, louve perdue, seule, et pleine de mauvais souvenirs. Pourtant, elle ne désespérait pas pour autant. Est-ce ce côté enfant et distraite qui faisait qu'elle n'était pas au bord du suicide ? Peu importe ... Lorsqu'elle arriva au bord d'un lac, épuisée, elle but quelques gorgées et s'endormit au bord de celui-ci. Les rêves qu'elle fit lors de ce sommeil furent tous hantés par ses malheurs.
Elle se réveilla, il faisait sombre. C'était le soir, la lune éclairait un peu l'endroit. De jolis reflets dansaient sur l'eau du lac. Elle se retourna, elle avait senti une présence. Ce fut la surprise qui suivit ce mouvement. Sa bouche s'ouvrit et son regard fixai sur ce qu'elle voyait. Un loup. Mais pas n'importe lequel. Un immense loup a la majesté que possédait ces créatures que Makka avait connu dans son Pays. Comment était-ce possible ? Les loups Originels la poursuivaient et la hantaient au point d'être là à chaque endroit où elle arrivait. Elle recula, mais pas beaucoup car derrière elle, c'était l'eau. Elle le toisai du regard, retroussa ses dents et attrapa un bâton qui se trouvait au sol. Le loup ne semblait pas comprendre, mais il semblait amusé. Elle grogna. Mais la voix du loup résonna dans sa tête. Elle compris ce qui lui disait. Il parlait la langue de Nikita. Elle lâcha son bâton. Le ton plutôt poli du loup était identique à celui de Nikita. Aucune agression, juste des paroles.
Elle l'écouta et lui parla; Elle lui raconta son histoire, sans trop s'attarder sur les détails concernant Nikita. Il lui expliqua qu'elle n'était pas seule. Qu'il existait d'autres individus comme elle. Cette nouvelle l'abasourdit. Elle le fixai toujours intensément de ses grands yeux sombres. Elle finit par accepter de le suivre, et de rejoindre sa meute. Cela attristé Makka de se retrouver à nouveau sous les ordres d'un Originel. Mais dans son esprit c'était clair: Jamais elle ne vouera plus de respect à un orginel qu'à une autre personne. Elle ne les considéraient pas comme supérieur, même si elle savait que leur force était bien plus puissante que la sienne ... mais cela importait peu pour le moment. Elle voulait rencontrer les individus comme elle, et elle accepta d'essayer une nouvelle meute, à contre-coeur.
Autre ? :
Makka se promène toujours avec une lance dans son dos. Elle l'a faîtes elle même. DC de Maria.
Dernière édition par Makka le Ven 29 Oct - 20:00, édité 12 fois
|
| | | Invité
| Sujet: Re: Makka <Finie> Mer 27 Oct - 20:30 | |
| Double-post. Sorry. C'était pour prévenir que j'avais fini. |
| | | Azghar
Messages : 708 Messages rp : 19 Date d'inscription : 04/06/2010
Identification Âge: 1959 Statut: Maitre Relations:
| Sujet: Re: Makka <Finie> Jeu 28 Oct - 16:08 | |
| Bonjour bonjour =)
Alors tout d'abord si tu pouvais redimensionner ta prez car tu nous déformes un peu le forum hihi ^^ Merci d'avance =)
Ensuite il y a deux petites choses qui ne sont que des détails me diras tu , mais bon .
Dans ton premier paragraphe tu dis que les loups ont la taille des humains , or un originel mesure dans les deux mètres trente de haut sans compter les deux mètres de large et les quatre mètres de long. Donc cela me chagrine de voir un originel comparé à un humain donc si tu pouvais modifier ceci ^^
Ensuite avec Amélia nous avons décidé qu'il y avait assez d'errant , donc voilà ce que je te propose , si tu pouvais rajouter un petit paragraphe qui raconte ton arrivée autour de notre ville et ta rencontre avec un loup originel qui t'aurait proposé de rejoindre son clan , en l'occurrence cela serait William . Ainsi tu pourrais d'ores et déjà mettre un statut autre . |
| | | Invité
| Sujet: Re: Makka <Finie> Ven 29 Oct - 19:06 | |
| Je ne serais jamais une bonne codeuse xD Bon c'est arrangé.
Voilà, donc j'ai corrigé mon erreur en mettant " bien plus grandes qu'un Homme ". Je ne sais pas pourquoi j'avais écrit qu'il était aussi grand que les Hommes ... Je ne sais pas, j'étais peut être dans ma période "aussi" x3 Et j'ai rajouté un paragraphe à l'Histoire comme demandé =D
Wakka Wakka *Euh ...* Voilà Voilà.
J'espère que ça ira. |
| | | Azghar
Messages : 708 Messages rp : 19 Date d'inscription : 04/06/2010
Identification Âge: 1959 Statut: Maitre Relations:
| Sujet: Re: Makka <Finie> Sam 30 Oct - 22:35 | |
| Ma foi il y a tout =)
Tu es donc validée =) Bienvenue parmi nous ! Je te laisse faire la suite tu connais la démarche =) |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Makka <Finie> | |
| |
| | | |
Sujets similaires | |
|
Sujets similaires | |
| |
Page 1 sur 1 | |
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|