Il serait inutile de dire qu'il est d'une rare beauté vampirique. Cela va de sois, ses origines parlent pour lui. Nous n'en attendons pas moins d'un Originel. Et vous, qu'attendez-vous de lui?

Bel Homme. Nikolaï est grand, mesurant peut-être un bon mètre quatre-vingt cinq mais n'est cependant pas taillé dans le marbre. Sa carrure se rapproche plutôt de celle du diamant, élégant et terriblement résistant. Sous sa maille de corps méticuleusement choisie, sa musculature discrète se dessine comme les notes de musique sur une superbe partition lui offrant une silhouette svelte et sportive à la fois. Sur sa peau légèrement dorée, se trouvent une multitude de tatouages de toutes sortes. De son cou jusqu'en bas du dos, en passant par ses épaules et le haut de son torse musclé. D'une symétrie parfaite, toute courbe et autre forme trouve à son exacte opposé une jumelle, donnant a ses muscles une toute autre dimension. On pourrait croire qu'il s'est marqué de cette façon pour faire oublier à qui le regarde, sa musculature lointaine cousine de celle des body builders.. peut-être. Peu probable enfaite, puisque finalement être beau, il a ça dans le sang. Ses jambes sont en accord parfait avec le reste de notre Vampire, des muscles puissants s’y dessinent sans être d’une taille protubérante.
Inutile de préciser que tout ça fait en général le bonheur de ses admirateurs… S'il reste âme qui vive pour l'admirer.

Un Originel plus qu'agréable à regarder. Étonnant, me direz-vous.
Sa fine chevelure miel aux reflets d'or qui, la plupart du temps, tombe devant ses yeux d’un bleu grisé -lorsque la pupille ne se dilate pas entièrement recouvrant ainsi le manteau de givre des iris-, accentue le côté mystérieux voire dépravé du Vampire à l'allure chiquement négligé.
Sa bouche renferme des dents d'une blancheur ivoirienne parfaitement alignées ainsi que des canines dangereusement aiguisées, dévoilées par de fines lèvres timidement dessinées lorsqu'il sourit, chose assez habituelle chez lui. Sourire est l'un de ses passe temps favoris.
Son visage, une pure merveille de la nature. Il est de la classe des gens qui possèdent des canons de la beauté. Dans le prolongement de son front constamment caché par ses sublimes cheveux blonds, se présente un nez droit qui ne comporte pas de bosse en son milieu. Plus globalement, ses traits sont dur et doux a la fois image renforcée par le léger creusement de ses joues qui le rendent inévitablement vraiment séduisant.

Nikolaï est principalement et excessivement sadique. Il aime le sang. Le boire, le sentir et même le regarder couler que ce soit dans sa gorge ou sur le sol.
Voir, ressentir la douleur le fait rire et lui procure un plaisir quasi sans limites. Sa seule limite connue pour le moment est la douleur d'Amélia, sachez vampires, chiens ou mortels qu'il vous traquera sans relâche et vous fera payer le prix qu'il aura fixé pour avoir osé toucher cette déesse à qui il voue un culte presque totalement malsain. Nikolaï est tombé sous le charme de ce Vampire a qui il obéit aveuglément depuis qu'elle put s'abreuver de son sang, chose rare. Mr Eastwood est conscient de ce petit manège mais se trouve dans l'impossibilité de désobéir à la grande Dame qu'est Amélia. Homme à l'esprit tordu, il passe bien souvent pour fou, ce qui n'est pas loin d'être la vérité.
Son goût prononcé pour la douleur et la souffrance lui font adorer torturer ses victimes en les vidant de leur sang pour les observer se débattre et mourir à petit feu. Des coups d'hystérie ou crises de colère sont à prévoir. Ainsi, dans de pareils moments, amis ou ennemis, gare à vous. Nikolaï ne fait même plus de distinction. La seule chose connue capable de le calmer à part le sang se trouve être Amélia qui décidément prend un place importante dans l'existence de notre Vampire à qui il se soumet presque totalement, presque..

Cet Originel est un phénomène, adorant rire de choses qui ne sont habituellement pas risibles.
Nikolaï peut aussi, en un instant retourner sa chemise comme si de rien était. D'un calme Olympien ou d'une excitation dévastatrice, il n'est pas aisé de prévoir ses réactions puisque lui-même ne sait jamais vraiment ce qui va se passer ensuite.
Ce petit point négatif mis a part, Nikolaï est "gentil'. Il possède une culture raisonnable sans être un rat de bibliothèque. Sa culture sexuelle en revanche se trouve être relativement vaste, chose dont il ne se vente pas particulièrement, préférant garder des exploits pour lui, pour ensuite les reproduire avec d'autres partenaires. Monsieur Eastwood sait -de temps à autres- se révéler délicat, raffiné et même polis. Il n'est certes pas le plus parfais gentleman et ne le sera probablement jamais.

Né aux alentours de..il y a de nombreuses années, Je ne suis pas l'ainé d'une grande fratrie, non. Je suis simplement le cadet. Le second en somme. Mes parents, tous deux originels bien sur, étaient évidemment bien plus que fortunés, j'ai eu la chance d'avoir une enfance dorée.
Lors de ma toute jeunesse, torturer des mouches et tuer des animaux devinrent mes passe-temps favoris. Les bois de l'Est comportaient bon nombre de petites bêtes à tuer, si bien que lorsque je grandissait, les animaux que je tuais devinrent aussi plus gros. Plus je grandissait, plus mes envies devenaient irrépressibles. Comme ma bonne, une tigresse qui, sans doutes, voulait toucher a mon parfait corps avant que je la décapite sans préavis. Ce fut jouissif mais je me suis sévèrement fait réprimander. J'ai alors estimé que torturer des adulte était trop prématuré pour moi, j'ai donc décidé de m'occuper des enfants, ceci étant plus facile du à mon physique enfantin de l'époque. En général je torturais fortement les femmes, tendis que les Hommes... je m'en servait comme s'ils étaient des poupées. J'en gardais deux voir trois à la fois, jouant avec au gré de mes envies.

J'ai quitté ma famille dès ma Centième année. Ayant décidé de voyager dans le monte entier, je suis aller visiter quelques grand pays et par la même occasion de gouter aux joies des femmes de plusieurs grandes familles Originelles, avant de revenir sur le vieux continent, trouvant les Américaines peu divertissantes mais les hommes en revanche..
Pendant près que 1400ans, je n'ai fais que vivre à moitié. La fête, le sexe, le sang... N'étaient qu'enfaite des façons de combler un vide que je n'ai jamais su remplir. Mais c'est au détour d'un chemin que j'ai rencontré la plus sublime créature que j'ai eu l'occasion de voir.

C'était donc aux alentours de mes 1400ans. A vrai dire, j'ai perdu le compte il y a quelques siècles de cela. Je venais d'apprendre que mon petit frère avait pris la tête de la maisonnée. Une bonne nouvelle, mais pas pour tout le monde. Les premières personnes présentes sur mon chemin ont payé le prix de la mort de mon Aîné. Un petit village du Jura, isolé dans une petite vallée, là où le neige atteignait presque 1mètre de haut à l'époque alors qu'aujourd'hui, battre le record des 20cm semble impossible. Quoi qu'il en soit, il y eut un carnage, les femmes d'abord, puis les enfants. Je jouais ensuite lentement avec les hommes. Quel plaisir quel... magnifique sentiment.
Ce fut quelques jours plus tard, après avoir terminé avec tout le village que j'avais préalablement séquestré dans une église puis brûlée lorsque le dernier jouet avait soufflé pour la dernière fois, qu'elle attendais là, à l'entrée du village, l'air complètement perdue et effrayée. Triste erreur que j'ai faite d'y croire, en y repensant, il est vrai qu'elle est remarquable comédienne. Elle m'avait, simplement fait croire qu'elle était l'une des leur, revenant du village de l'autre coté de la vallée.
Je l'ai donc prise sous mon aile, elle beauté fatalement envoutante. Ce fut au moment où, je m'apprêtais à la mordre pour la première fois que, je vis son vrai visage. Il s'avérait en réalité que c'était elle, l'Originelle, la plus âgée, la plus puissante depuis la génération précédente. Elle m'a donc mordue sans effort, et je me suis, pour ainsi dire laissé avoir par sa beauté. Puis je suis parti, durant un demi siècle avant de revenir vers elle, après avoir pensé à Amélia durant tout ce temps.

Depuis, je reste à ses cotés, telle une ombre qui la suit sans qu'il y ait de lumière.