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 Leah Rain

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Leah Rain
Humain
Leah Rain

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Leah Rain Empty
MessageSujet: Leah Rain   Leah Rain EmptySam 9 Oct - 17:04

Personnage prédéfini ? : Nope


Nom : Rain
Prénom : Leah
    Âge : 21 ans
    Orientation sexuelle : Hétérosexuelle (occasionnellement bi)
    Métier : Dessinatrice indépendante
    Membre de la Coalition ?: Non
    Pro-vampires ? : Non plus
Physique : De taille moyenne et mince, trop mince, Leah possède un corps élancé et peu de formes. C'est une jeune femme gracieuse, naturelle. Disons qu'elle ne s'embarrasse pas de coquetteries inutiles ; tout en elle respire la simplicité. Un visage fin entouré d'une cascade de cheveux noirs en désordre, une bouche aux lèvres pâles, un petit nez sans prétention et, surtout, surtout, deux grands yeux bleus, limpides et glacés, soulignés par de fines cernes d'un violet foncé, contraste étonnant avec la blancheur extrême de sa peau -Leah craint le soleil ; elle ne bronze pas, elle cuit.
C'est une jeune femme légère et souple ; sa musculature fine lui confère cette silhouette de petite chose frêle et fragile. Leah n'est donc en aucun cas capable de se battre -elle se ferait écraser comme une mouche, uh. Non, elle est taillée pour la vitesse et l'agilité. Sa force réside dans sa capacité à passer inaperçu, à agir vite et efficacement.
Côté vêtements, Leah se contente de peu ; jeans, petit t-shirt cintré, sweat à capuche et vieilles converses. Elle se maquille rarement et, en guise de bijoux, porte une longue chaîne d'argent au bout de laquelle se balance un pendentif en forme de croix autour de son cou -il appartenait à sa mère. Autre particularité ; ses mains et poignets sont entourés de bandages -que cachent-ils, that is ze question, haha.

Caractère : Leah est une jeune fille ouverte et attachante, souriante, pas très difficile et très attachée à la vie ; bref, vous l'aurez compris, elle est sociable et se fait des amis à la pelle. Sensible comme il faut, drôle et un poil mystérieuse, Leah n'a aucun problème avec la vie qu'elle mène et travaille avec application pour ses études. Aucun problème, sauf un. Ou deux. Elle est distraite. Un peu. Et elle s'ennuie. Beaucoup. Cela fait d'elle une personne très détachée et qui se lasse vite. Sans être désagréable pour autant, elle a tôt fait de passer de l'amitié à une indifférence polie, la rendant très instable dans ses relations.

Mais ça, c'était avant. Et, comme pour toutes les tragédies, il y a un après.

L'année de ses 17 ans marqua un changement radical dans le comportement de Leah. Amère et distante, elle ne cherche pas à se lier aux autres. Ça fait trop mal. D'ailleurs, elle évite la plupart du temps de côtoyer des gens -et si d'aventure elle en est obligée, Leah se cache derrière sarcasmes et réparties cinglantes. Elle préfère les observer, de loin si possible. Sûre d'elle et plus déterminée que jamais, elle va toujours droit au but ; quand elle veut quelque chose, elle l'obtient, quitte à déployer des trésors d'imagination pour parvenir à ses fins -imagination qu'elle possède en quantité. Son secret ? La confiance. Elle ne croit qu'en elle-même. Si elle ne le fait pas, qui le fera ? Elle n'a qu'à penser qu'elle est la meilleure pour l'être. On ne brille que de son éclat, pas de celui de son voisin.
Parmi ses inévitables défauts, Leah en possède un qui, plus que tous les autres, la ronge de l'intérieur. Leah a peur. Elle est terrorisée. Obsédée par la mort. Hantée par ses souvenirs, elle se réveille toutes les nuits, en nage, l'image une main d'enfant blanche et froide imprimée sur la rétine. Elle ne crie pas. Ferme les yeux... sans pouvoir se rendormir. Beaucoup de gens auraient mis fin à leur vie dans pareil cas. Elle le sait. Elle a essayé.
Leah n'a jamais compris pourquoi ni comment cet incident a pu la marquer à ce point alors que, depuis toujours, les émotions la traversent sans avoir de réelle emprise sur elle, du moins pas plus de vingt-quatre heures. Sans pour autant la qualifier d'insensible, on peut dire de la jeune femme qu'elle attache peu d'importance aux émotions et à la douleur. Moquez-vous d'elle ; vous ne récolterez qu'un sourire condescendant. Menacez-la ; vous aurez droit à un haussement d'épaules indifférent. La mort ne lui fait pas peur, elle a appris à l'apprivoiser, à s'en faire une amie, au même titre que la peur. Mais si d'aventure vous essayez de la toucher, elle se fera tout pour vous en empêcher.
Armée de son carnet à dessin et de ses crayons, elle aime se balader dans la ville pour croquer les détails qui retiennent son attention. Elle n'hésite d'ailleurs pas à se mettre dans des positions étranges pour trouver le bon angle, ni à s'arrêter au beau milieu du trottoir pour dessiner un visage perdu dans la foule. Pour la jeune femme, le dessin est à la fois sa passion et son métier. Elle travaille en effet en tant qu'indépendante et s'occupe de mettre sur papier le moindre désir de ses clients. Leah dessine absolument tout, des paysages aux personnages, en passant par les animaux et les bestioles imaginaires. Si on lui demande quelque chose qu'elle n'a encore jamais expérimenté, elle s'entraîne inlassablement jusqu'à obtenir satisfaction. Mais l'art est un concept en perpétuelle évolution, et pour suivre le mouvement, Leah doit sans cesse innover, assimiler et souvent galérer. Un combat qu'elle mène chaque jour lorsqu'elle s'amuse à se perdre dans les tréfonds de la ville. L'adrénaline que lui procure cette légère panique à l'idée d'avoir perdu tous ses repères lui permet de s'ouvrir entièrement au monde qui l'entoure. Alors, elle ouvre grand ses yeux de glace et promène sa mine sur le papier, traçant, gommant, raturant à tout va, jusqu'à ce que par hasard elle tombe sur un coin de rue qu'elle reconnaît et qui la ramène chez elle, un léger sourire de satisfaction flottant sur les lèvres.



Histoire : C'était un soir de novembre. De gros flocons tombaient sur la ville, couvrant le sol d'un épais manteau blanc. Leah rentrait chez elle après une dure journée de cours, et elle rêvait d'une bonne tasse de lait chaud à siroter devant la cheminée. Elle se ferait bassiner par sa petite sœur, Lily, qui lui chanterait probablement la comptine qu'elle avait apprise le jour même à l'école. La merveilleuse odeur qui flotterait dans la cuisine lui apprendrait quel plat sa mère avait décidé de concocter pour ce soir, aidée de son époux tout juste rentré du travail. Elle les voyait déjà se chamailler comme deux adolescents au sujet d'une épice... Leah frissonna de froid et accéléra, pressée de retrouver la chaleur de la maison familiale. Des volutes de vapeur dessinaient des arabesques fantomatiques devant ses lèvres entrouvertes. Elle finit par s'arrêter sur le porche d'une jolie maison de modeste taille, simple et élégante, et s'apprêtait à sortir ses clés de son sac lorsqu'elle remarqua que la porte était entrouverte. Intriguée, elle la poussa doucement et entra sans faire de bruit. Un frisson glacé parcourut son échine. Elle avait un mauvais pressentiment. Très mauvais. Et le silence inhabituel qui régnait dans le hall ne faisait que le renforcer. Toutes les lumières étaient éteintes et il faisait glacial. Prudente, la jeune fille poussa la porte du salon. Personne. Elle entra à pas de velours, réfléchissant à toute allure. Des voleurs ? Une alerte incendie ? à la bombe ? Ses parents étaient-ils partis avec Lily quelque part, laissant la porte ouverte par inadvertance ? Leah secoua la tête. Ça ne collait pas. Pourtant, elle refusait d'envisager le scénario qui défilait dans son esprit. Décidant d'explorer le reste de la maison pour comprendre ce qui s'était passé, elle inspira profondément et se coula dans l'embrasure de la porte.

Merde... Leah se releva tant bien que mal et se remit à courir. Elle venait de se manger le sol après un dérapage foireux dans la neige. Tournant à gauche, la jeune fille se retrouva dans une ruelle sombre et délabrée et accéléra encore l'allure. Son genou la lançait, elle avait dû se rattraper dessus lors de sa chute. Ignorant les élancements douloureux, elle vira à droite, puis encore à droite. Elle n'avait absolument aucune idée d'où elle pouvait bien être ni depuis combien de temps elle déambulait dans la ville endormie. Une chose était sûre ; elle ne tiendrait pas longtemps à ce rythme. Elle avait les poumons en feu, la respiration saccadée et le moindre de ses muscles la faisait souffrir. Elle jeta un rapide coup d'œil en arrière et le regretta aussitôt ; ses agresseurs la talonnaient. Elle n'avait plus aucune chance de les semer. A moins que... Une idée lui traversa l'esprit alors qu'elle trébuchait d'épuisement. Les porches des maisons se succédaient en d'interminables rangées soudain accueillantes. Puisant dans ses dernières forces, Leah allongea ses foulées, histoire de glaner ne serait-ce que quelques secondes d'avance sur ses poursuivants, puis, hors d'haleine, se jeta sur la première sonnette qu'elle vit. La porte s'ouvrit instantanément et la jeune fille s'engouffra dans l'entrée en la claquant derrière elle. Tandis qu'elle se retournait pour voir chez qui elle venait de s'introduire, ses jambes se dérobèrent sous elle et elle s'affala sur la carrelage. Des points noirs de plus en plus gros obscurcissaient sa vision, mais elle crut distinguer les formes floues d'un homme sans âge avant de perdre conscience.

Des coups sourds dans son crâne ramenèrent Leah à la réalité. Émergeant des ténèbres de l'inconscience, la jeune fille ouvrit lentement les paupières... pour les refermer aussitôt. Sa tête lui donnait l'impression d'imploser, et la moindre lumière lui transperçait les yeux. Les laissant soigneusement clos, elle tenta d'analyser la situation. A première vue, elle se trouvait dans un lit. Seule. Leah fit une nouvelle tentative pour ouvrir les yeux qui se solda par un léger picotement ; elle n'en fit pas cas et inspecta les lieux. Elle se trouvait dans une pièce peu meublée, à l'obscurité uniquement troublée par un rai de lumière provenant d'une fenêtre. A sa gauche se trouvaient une petite table de nuit comportant une lampe de chevet, un verre d'eau, une compresse tiède et une boite rectangulaire. Une soudaine quinte de toux surprit Leah qui se plia en deux sous la douleur, suspendant son geste pour s'emparer du verre. Une fois la crise passée, la respiration sifflante, la jeune fille saisit la boisson et but une gorgée ; sa gorge lui donnait l'impression d'avoir été passée au papier de verre. Curieuse, elle saisit la petite boite et lut ce qu'il y était indiqué. C'étaient des médicaments pour la toux. Haussant les épaules, elle en avala un, but quelques gorgées d'eau, reposa sa tête sur l'oreiller en soupirant et s'endormit aussitôt. Elle se réveilla quelques heures plus tard et réalisa pour la première fois qu'elle n'avait pas la moindre idée de où elle pouvait bien se trouver. Elle était vêtue d'un pyjama en pilou, celui d'un homme, visiblement, et ses vêtements reposaient, soigneusement pliés, sur une chaise dans un coin de la pièce. La jeune fille resta un long moment assise, les yeux dans le vague, tentant de rassembler ses pensées confuses, quand soudain, tout lui revint en mémoire. La fin des cours, le chemin du retour, la découverte des corps de ses parents et de sa soeur, le choc, la rencontre avec les assassins, la fuite, le désespoir, la douleur, et puis... elle avait eu une idée. Une idée brillante, puisqu'elle était toujours vivante. Malade et désorientée, mais vivante. Et, pour la première fois de sa vie, les larmes coulèrent sans retenue sur les joues de Leah. Elle pleurait pour son père et sa mère, elle pleurait pour sa soeur, et un peu pour elle-même aussi. Elle pleurait de soulagement et de douleur, de peur et d'une infinie tristesse ; elle était en vie. Et seule.

Leah apprit quelques heures plus tard qu'elle avait sonné à la porte d'un jeune cadre d'entreprise qu'elle avait surpris alors qu'il sortait pour se rendre à un souper d'affaires. Il l'avait transportée dans sa chambre, déshabillée (" très chastement, mademoiselle, je vous le promet ") et installée dans le lit avant de filer. Lorsqu'il était rentré, elle était toujours inconsciente. Il avait alors, le lendemain, appelé un médecin qui avait diagnostiqué un léger coma post-traumatique, ainsi qu'une bonne grippe. Thomas (c'est ainsi qu'il se nommait) s'était empressé d'aller chercher de quoi soigner son invitée improvisée et s'était préparé à l'accueillir à bras ouverts lorsqu'elle se réveillerait (il avait décidé de lui laisser sa chambre ; lui se contenterait du divan du salon). Ce qui finit par arriver, deux jours plus tard. Il la retrouva dans un tel était qu'il se promit de ne jamais lui demander ce qu'il s'était passé ce soir-là (" Ne me dites rien ; la seule chose dont je me préoccupe est votre santé et votre confort "). Il s'avéra être un hôte prévenant et attentionné, feignant de ne pas s'offusquer des crises d'angoisse répétées de la jeune fille. Quant à cette dernière, elle finit par guérir péniblement de sa maladie, qui la laissa maigre et affaiblie. En revanche, sa santé mentale se dégrada ; elle ne parlait plus, ne dormait plus, ne mangeait plus, ne sortait jamais. Le médecin lui prescrit des antidépresseurs qu'elle ne prit pas, préférant passer ses journées assise sur le rebord de la fenêtre, les yeux perdus au loin. Thomas, inquiet, avait tout d'abord tenté de la raisonner, mais avait vite abandonné devant le silence obstiné de son invitée. Il lui apportait ses repas sur des plateaux qu'il reprenait intacts, épongeait son front trempé lorsqu'elle se réveillait en hurlant la nuit, s'installait parfois près d'elle pour lui parler de sa journée, tentant d'attirer son attention, de la faire sourire, sans succès. Devant pareille froideur, nombre de personnes auraient déjà baissé les bras, ou même renvoyé la jeune fille, mais pas Thomas. Il lisait sur son visage un abattement sans limites, mais aussi la gratitude infinie qu'elle éprouvait envers lui. Et cela lui suffisait.

Petit à petit, année après année, Leah émergea de sa torpeur. Cinq mois après le drame, alors qu'elle était sur le point de se faire hospitaliser pour anorexie, elle recommença à se nourrir convenablement. Le mois suivant, elle se remit à parler ; d'abord quelques mots hésitants, prononcés d'une voix rendue rauque par le silence, puis de courtes phrases, pour finir par des conversations entières avec son hôte. Bien qu'elle évitât soigneusement de parler d'elle, elle s'intéressait à la vie que menait Thomas, à son travail, ses relations... Elle mit cependant un mois de plus pour sourire et rire à nouveau. Le sommeil, malheureusement, ne revint pas ; aux crises d'angoisse d'une violence certes décroissante s'ajoutèrent des crises d'insomnie lors desquelles Leah, épuisée, sombrait dans un état de sommeil-éveil qui pouvait durer des heures et la laissait, au final, plus fatiguée encore. A cette époque, alors qu'elle approchait de ses 18 ans, elle devint très vite accro aux somnifères, seuls remèdes à ses problèmes de sommeil. Cette dépendance eut pour effet, sans compter celui de lui procurer (enfin) le repos dont elle avait grand besoin, d'amplifier ses troubles psychologiques, lui faisant subir un véritable ascenseur émotionnel. Du jour au lendemain, elle passa d'une joie euphorique à une profonde dépression. Le jour de son 18ième anniversaire fut également celui de sa première tentative de suicide (dont elle garde encore aujourd'hui les cicatrices sous ses bandages). Lors de son hospitalisation, on lui fit subir une cure de désintoxication. Et lorsqu'elle put enfin sortir de l'hôpital, trois mois plus tard, elle disparut de la ville, ne laissant derrière elle qu'une lettre à l'adresse de son cher Thomas.
    « Thomas,
    J'ai jamais été douée pour dire au revoir. Et puis, les trucs qui dégoulinent de sentiments... très peu pour moi. J'aurais pu te dire tout ça en face, mais pour être franche, je n'ai pas le courage nécessaire. Bref. Je vais faire court.
    Je tenais tout simplement à te dire ceci : merci pour tout. Il m'arrive souvent de me demander ce que je serais devenue si tu ne m'avais accueillie comme tu l'as fait. Je serais morte, sans doute. Alors, même si les longs mois que j'ai passés cloîtrée dans ta chambre ne furent pas les meilleurs de ma vie, tu m'as rendu un grand service. Il est temps maintenant que je refasse ma vie. Ailleurs.
    Souhaite moi bon vent Tommy !
    Leah »


Autre ? : C'est Mushu, Zouzounet et Jezy qui m'ont fait connaître Coa o/
Pis aussi, ça fait plus d'un an que j'ai plus fait de fiche complète alors soyez indulgents oo Ça ira mieux en RP.

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Leah Rain
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Leah Rain

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MessageSujet: Re: Leah Rain   Leah Rain EmptyJeu 21 Oct - 23:48

    Owaah, j'ai cru que j'y arriverais jamais, mais OMG c'est fait. J'ai FINI oo
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Amélia
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MessageSujet: Re: Leah Rain   Leah Rain EmptyVen 22 Oct - 11:06

Yeah, Leah x3
Bon et bah bienvenue officiellement ^^

Que dire ? J'adore ton style ! **
Bien évidemment, il y a le nombre de lignes, c'est complet et tout, et tout donc... Validée ! ^^

Je t'invite, dorénavant, à faire une 'tite demande de lieu de vie <3

Bon rp parmi nooous !
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MessageSujet: Re: Leah Rain   Leah Rain Empty

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