• IDENTITE •

Personnage prédéfini ? : Non Nom : Parce qu'il faut un nom au cadet d'une race ? Prénom : Bleizenn. Ne remarquez-vous pas là une certaine "coïncidence" ? Azghar, aîné de la race, mon frère, se voit porter un prénom dont la première lettre et celle qui débute l'alphabet. Moi, son frère délaissé, né après lui, je ne puis avoir que la seconde, la lettre B. Pourquoi Bleizenn ? Les origines de ce prénom celte veulent dire : Loup. Âge : 1678 ans. Orientation sexuelle : Hétéro. (et zoophile ?) Rang : Originel. Statut au sein de la meute : Disons ... Traître, rêvant de maîtriser la race.





• CARACTERISTIQUES PHYSIQUES •



Apparence en tant que Loup : Loup ? Il serait intéressant de savoir si vous trouviez vraiment que Bleizenn ressemble à un loup, un loup mutant serait peut-être plus approprié. C'est le deuxième plus grand de sa race, vous ne devriez pas vous y tromper. Pouvant se déplacer debout à l'aide de ses deux pattes arrières, aussi bien qu'en utilisant tous ses membres les plus propices à la mobilité de son corps maudit, il mesure au summum de sa taille deux mètres quarante, pour une longueur ou largeur tout aussi impressionnante d'un mètre quarante cinq. Effrayant, mais certainement moins que la vue de ses pattes aux longues griffes. Ces mêmes griffes meurtrières auxquelles pas grand chose ne peut résister. D'une force incomparable, le Loup qu'il est est aussi d'une rapidité impressionnante. Croyez moi il n'aura besoin de personne pour vivre, et ne vous amusez pas à tenter de devenir sa proie, vous y perdriez beaucoup, à coup sûr. Son côté quelque peu ... Humain dirons nous ? reste tout de même visible malgré la masse de poils qu'il représente. Tout semble bestialité et brutalité en cette créature, néanmoins on peut noter ses pattes avant où ses doigts se séparent quelque peu, apportant une plus grande maniabilité des choses, et maîtrise du toucher. De plus, ses pattes arrières pouvant le faire tenir debout, tout en lui permettant de garder une vitesse remarquable et enjamber quelques obstacles. Ses oreilles attentives lui transmettent toutes sortes de bruits, sons, fracas. Ses yeux, d'un orange jaunâtre, lui donnent une visibilité des plus nettes. Leur couleur fait incroyablement penser à celle de la lune, quelques jours où elle est à son plus beau fixe, où le soleil, caché, l'éclaire au mieux, et où toutes les âmes et êtres de la nuit ne peuvent s'empêcher de l'observer. Son pelage, important et présent sur la totalité de son corps, est couleur ébène, avec cependant des nuances aux tons violet, bleus, et bruns. Cette assemblage de ces quelques couleurs reste harmonieux sur son poil doux, et lui permet s'il le souhaite un meilleur camouflage durant la nuit. Etant longtemps nomade, ses muscles sont développés et sa carrure animale n'en reste pas moins "athlétique". Il détient un parfait contrôle de sa queue, dont les coups sont aussi puissants. Attention aux louves, il a quelques pulsions pour lesquelles il succombe facilement lorsqu'il voit de simples louves, n'étant pas tout à fait de la même race que lui.



Physique en tant qu'Humain : N'étant humain qu'une fois par mois, Bleizenn a une préférence pour son apparence et son physique de Loup. Il s'est fait difficilement à ce corps visiblement en tout point similaire aux humains, mais ayant été abandonné par les siens et ayant vécu en solitaire dans des forêts largement étendues, il ne intéressait en aucun cas à ce qui était plutôt pour lui une sous-race. Bleizenn n'a jamais rien eu de "branché" ou "à la mode", il se fichait de tous ces grigris humains, toutes ces superficialités, il n'avait que faire d'eux et leurs caprices, leur vanité et leurs petits attachements matériels. Lorsqu'il était sous l'apparence d'un humain, il était souvent nu, ou enveloppé dans une fourrure d'ours, ou de loup, qu'il avait prit soin de tuer avant la pleine lune. Il s'était fait une propre idée de sa mode, après avoir durement accepté ce physique qu'il jugeait ignoble. Selon la bête qu'il avait tué, son âge, son squelette, le pelage l'entourant était plus ou moins long, et caché plus ou moins de chose. Il avait tout de même compris que l'entre-jambes n'était jamais dévoilée chez les humains, et il tachait d'y prendre garde. Ce manque d'intérêt pour les vêtements était certainement dû au fait qu'il ne comptait pas les rencontrer un jour. Enfin, cette idée le répugna longtemps. Pourtant, il avait un certain charme, qui aurait pu faire quelques ravages parmi ces mortels, mais les Loups et loups étaient pour lui bien plus dignes de reconnaissance et attirants. Il y avait quelques bagues, qu'il gardait néanmoins constamment. Trois, à la main droite : un au majeur, comportant une grosse pierre d'ambre en son centre, et deux en métal simple sur l'annulaire. Il tenait aussi tout autant à un collier assez complexe, auquel est suspendu une petite clef. Lui même ne sait pas ce qu'elle pourrait ouvrir. Il ne sait pas non plus pourquoi il l'avait gardé une fois qu'il l'eut trouvé au beau milieu de la forêt, mais l'être humain est complexe, pourquoi pas un Loup. Il s'était d'une certaine manière entiché à celui-ci, et y accordait beaucoup d'attention. Il lui arriva de l'observer souvent, d'un air perplexe. Il s'amusa aussi parfois à mettre des plumes ou des poils dans ses cheveux en observant son reflet dans un lac à l'eau claire, d'un air enjoué. Ses cheveux, n'ayant jamais été coupés, détenaient quelques fourches, mais lui arrivaient jusqu'aux genoux. Leur couleur était similaire au pelage qu'il arborait fièrement sous son apparence de loup. Ses yeux, eux, étaient aussi perçants et intrigants qu'auparavant. Son teint quelque peu blafard, son nez fin, et sa bouche pulpeuse formaient un tout très harmonieux dans un visage ovale, encerclé par de petites boucles de ses cheveux mal coiffés. Bien que légèrement embêté par ce corps, il n'en gardait pas moins toutes ses capacités sur-développées. Il était difficilement reconnaissable comme le frère d'Azghar, n'ayant pas les mêmes particularités corporelles que lui. Par contre, il avait une masse de muscle tout aussi importante.




• CARACTERISTIQUES PSYCHOLOGIQUES •



Bleizenn est un être à plusieurs faces. Il aurait tendance à faire le bon, le sage, le gentil, le doux, l'humain, le convenant, le convenable, l'utile, bref, le parfait, mais cela jamais sans y trouver au moins un intérêt personnel. Avec le temps, il apprit vite comment se comporter, comment jouir du laisser paraître, des premières impressions, ainsi que des préjugés, et de manière fort habile. La faiblesse humaine est quelque chose dont il se moquait constamment, mais qu'il appréciait beaucoup, pouvant être d'une aide redoutable dans beaucoup de circonstances. Les faux-semblants le connaissaient bien. Mais pour arriver à cela, il lui a fallut un certain nombre d'années d'entraînement, et atteindre un niveau de self-contrôle non négligeable. Il peut s'avérer très entreprenant. Et patient, mais seulement quand il le veut. La preuve de ce que j'avance ? Il vécut loin de tout pendant plusieurs années, au "calme", et profita de ce temps précieux mais qui lui parut tout de même long pour se préparer à tous les affronter. Néanmoins, il savait ce temps utile, et c'est en pensant à ce qu'il pourrait accomplir grâce à lui qu'il se motivait. Il se montrait sage, attendant le bon moment avant de se montrer, d'agir enfin. Le choix, nous l'avons toujours, et Bleizenn savait prendre les bonnes décisions, prendre les bons chemins. Même s'il avançait seul et dans son propre intérêt, il fut rarement de fausses routes. On peut dire de lui qu'il est brutal. Et encore, il l'était tellement plus avant. Son côté animal se fait nettement ressentir, mais il parvient dorénavant à prendre le dessus sur celui-ci. Loin d'être naïf, il ne se voulait pas non plus pessimiste. Il pensait que la "vie" ne l'avait pas gâté, et en avait longtemps souffert. Il en souffrait encore, au fond, mais c'était une part de lui qu'il se cachait. Se mentir à lui même pour avoir enfin la chance de pouvoir toucher un jour au bonheur, ou la fin de toute cette peine intense qui le prenait tout entier. Il jouait les durs, les forts, mais Bleizenn n'en était pas moins un être déchiré. D'un certain point de vue, c'est cette mutilation intérieure qui l'a poussé, aidé, et fortifié. Elle est lui, il ne peut être autre qu'elle. Elle est encrée en son être, et il apprit à faire avec. Il aurait certainement pu être un Loup tellement bon. Mais bien qu'il tentait de le faire paraître, Bleizenn était tout sauf un modèle. Il était faux, méchant, agressif, haineux, colérique, violent, hautain, arrogant, égoïste, vicieux, jaloux, mauvais ... Tout ce mal être qu'il accumulait depuis sa naissance, n'était dû qu'à une seule personne. Son frère Azghar. Frère qu'il haïssait plus que tout. Frère qui, lui avait tout volé, et pour qui il souhaitait la mort. Sans Azghar, il aurait eu le règne, la puissance, la gloire, et la reconnaissance surtout. A cause de lui, son existence a basculé dans le néant dès qu'elle commença. Le fait de passer toujours après, d'être totalement oublié derrière le grand Azghar, puis abandonné ensuite en pleine nature, alors que l'on apportait à son frère une toute autre attention ... Pour simplifier, Bleizenn détestait Azghar, et bien qu'il le cachait à celui-ci, il allait se venger de cet oubli de sa personne, et voulait marquer l'histoire, à tout jamais.




• HISTOIRE •



Il était une fois ... Que dis-je, le destin d'un Loup n'a rien d'un conte. Surtout celui du petit, une vraie boule de poil à sa naissance. Il attira les regards quelques instants, seulement. De vifs coups de la patte gauche, et un nom, Bleizenn. Un frère aussi. Des parents, sans attention particulière pour lui. Une peine déjà grandissante, un refoulement immédiat. Pourtant, il n'avait rien de particulier. Semblait-il qu'un fils, futur chef et ainé, leur suffisait. Ils n'avaient pas besoin d'une autre pré-destinée, et n'en avait pas à lui offrir. C'est sans doute pour cela qu'ils l'ont vite abandonné. Bleizenn n'a aucun souvenir de ses parents. Seulement une conscience qui aurait tendance à lui dire qu'ils étaient bons, et que tout cela n'est autre que la faute de celui qui était né avant lui. Dès son plus jeune âge il fut livré à lui même. Les dangers étaient moindres pour un Loup originel, même nouveau-né, cependant, une aide n'aurait pas été de refus. Une vie de nomade lui fit ainsi offerte. Seul, solitaire, mais ce n'était pas pour autant qu'il n'appréciait pas la compagnie. Il eut tout de même du mal à se comporter "normalement" avec autrui, au départ. Il aurait tant souhaité une compagnie, une présence nouvelle, mais s'en le vouloir il se condamnait lui même. Il apprit de ses erreurs, apprit tout par lui même. Peut-être n'est-ce pas comme cela qu'on faisait, ou qu'il fallait faire. Quelle importance ? Il le faisait, cela seul comptait, non ? Il développa des sens extrêmement bien aiguisés à l'aide de courses, chasses, tueries, et j'en passe. Il se rapprocha étrangement de simples animaux hantant les forêts, ne pouvant être près des siens, mais sans pouvoir les rejoindre non plus, de part sa différence. Il savait tout de même qui il était, comment l'oublier, comment ne pas savoir ? Eux n'étaient pas dupes non plus. Ils le sentaient. Son odeur n'était pas la même. La lune était à la fois son amie et son ennemie. Chaque mois, il se transformait, se métamorphosait en un être plus ... fragile. Ou à l'apparence disons. Bleizenn se fit à cette fatalité, durement, lentement, péniblement, mais il s'y fit. Après des années à accumuler toute la haine et la colère qu'il pouvait ressentir, il avait besoin d'une motivation, d'une raison d'avancer. A cet instant, il vivait pour manger, il vivait sans raison, il vivait, parce qu'il n'était pas assez défaitiste ou indifférent lorsqu'il regardait la mort. Cela dit, cela ne le dérangeait pas de la donner à certains sans regrets. A présent, il vivrait, pour la vengeance, la reconnaissance, et pour enfin jouer un rôle important dans l'histoire. Au fond, il se disait qu'il n'était pas n'importe qui, qu'il y arriverait sûrement, mais il n'était pas assez fou pour se dire qu'il y arriverait facilement. Commencèrent alors ses années d'entraînement, longues, sans interruption quelconque, mais payantes.

Durant ces mille six cents soixante dix-huit années d'existence, il vit quatre fois son frère. Il ne parla quasiment pas. C'est vrai qu'il n'aime pas parler pour ne rien dire. Peut-être aussi était-il intimidé, ou trop plein de haine. Il s'était contenté de le saluer, et de l'observer en voyant sa rage augmenter à chacune de ses paroles. Oui Azghar était bien conscient qu'il avait un frère cadet. Il ne s'était pas montré si méchant que cela. Bleizenn l'analysait simplement, d'un point des plus subjectifs. Quoi qu'il fasse, aussi bon qu'il puisse être, il ne restait pas moins qu'une vermine aux yeux du Loup à pelage brun. Dès que leurs entrevues étaient terminées, il retournait sans plus attendre dans l'orée de la forêt. Il se postait parfois non loin, espionnant son frère et la vie qu'il menait. Il savait beaucoup de chose de lui, beaucoup plus qu'Azghar ne pouvait s'en douter. Il avait vu l'évolution de l'hybride, Emma, et la mort de la mordue pour qui son frère s'était entiché. Mais il ne restait jamais longtemps dans le coin, venant juste jeter un coup d'œil de temps en temps. Il connaissait bien les différents entre les races, savait quels étaient les personnages pouvant influencer l'histoire qui se jouait à cette époque. Bleizenn retenait chaque personne à qui il devrait s'adresser pour renverser son frère. La situation du monde dans lequel il vivait était un énorme avantage en sa faveur. Et il allait sans doute en profiter grandement. Il ne considérait pas encore tout cela comme le concernant, peu lui importait leurs mésaventures du moment. Il se disait qu'il n'aurait sans doute pas d'attirance et d'intérêt pour les vampires, si ceux-ci étaient aussi humains qu'il l'avait entendu, et aussi parasites. Il plaignait les Loups, se disant qu'ils seraient beaucoup mieux s'ils avaient à faire à un autre chef, comme lui. Les humains, ils ne les considéraient même pas comme importants, et se demandait pourquoi et comment une telle espèce avait-elle pu créer de tels ennuis pour les races supérieures. Il savait se montrer assez distant face à cela, ne faisant pas encore parti de la partie.

Un jour, alors qu'il était en train de courser un loup d'une meute qui l'avait pris pour un démon, il fut arrêté net par un bruit sourd. Il s'approcha vaguement de l'endroit d'où il pensait que ce son provenait. C'est ainsi qu'il rencontra une petite créature nommée Callum. Le petit, d'un âge environnant approximativement la dizaine d'années en apparence, était affalé par terre, une main sur son ventre, une autre agrippant une petite branche sur le sol, tentant de se hisser vers un tronc. Il ne sait ce qui le poussa à se soucier et se prendre d'affection pour le petit. Un moment de nostalgie en repensant à toutes ces années seul dans la forêt peut-être ? Mais ne vous avisez pas à lui parler de faiblesse. Bleizenn ne dit pas même un mot. Il s'approcha doucement du jeune garçon souffrant. Celui-ci avait les yeux embrumés par des larmes naissantes, et un regard qui ne montrait aucun signe de peur, contre toute attente. A peu silencieux, et lents, il se dirigea vers lui. L'odeur qu'il dégageait était spéciale. Un mélange de sang, d'humain, de Loup, de loup ... Un petit quelque chose de très intrigant. Perplexe et arrivait enfin près de son corps allongé dans les herbes, Bleizenn évita facilement un coup que le petit avait tenté de lui donner, et par réflexe mordu sa main afin de projeter son poignard au loin pour qu'il ne l'ait pas à porter de main. Après quelques secondes sans se mouvoir, il commença à renifler sa plaie. L'odeur était vraiment bizarre. Elle lui chatouilla même le museau par sa puanteur. Il observa le gamin, leurs yeux se croisèrent. Et depuis cet instant, ils ne se furent jamais quittés. Bleizenn prit soin de ce petit mordu qui avait subit les dérives de sa traque aux loups. Callum ne resta pas sur ses gardes longtemps. Le Loup refusait qu'il le remercie, ou tout autre signe de gratitude. Tout ce qu'il voulait de lui à présent qu'il était en âge, et que son éducation était déjà faite, c'était de bons et loyaux services. Callum le voyait un peu comme un père, et se sentiment de paternité était présent chez Bleizenn. Mais il n'était pas du genre à dévoiler ses sentiments. Il avait toujours fait le dur. Il se contentait de prendre soin de lui du mieux qu'il pouvait, et Callum l'obéissait à la lettre, bien que malheureusement pour lui, le proverbe "qui aime bien châtie bien" se vérifier dans leurs rapports. Bleizenn le prépara, et décida d'en faire alors son bras-droit, son espion. Celui qui allait l'aider à monter. Il l'avait sauvé des loups il y avait plusieurs siècles, il pouvait au moins faire ça pour lui.

Etait venue son heure. Nous pouvons dire qu'à présent, il n'attendait qu'une chose. Et pour parvenir à ses fins, cela faisait plusieurs années qu'il dût passer dans l'ombre. Maintenant, il était prêt, et il parlerait. Ce qu'il comptait faire ? Agir seul, enfin, avec son fidèle bras-droit, et ce dans son propre intérêt, comme toujours. Bleizenn essayerait certainement de se trouver des alliés de chaque race, s'il ne parvient pas à obtenir le règne par l'alliance, en s'intéressant à la fille de son frère, il devrait s'y prendre d'une toute autre manière, bien plus sanglante, les pertes risqueront d'être importantes, mais pas pour lui, espérait-il.



• AUTRES •


R.A.S. Mon cher frère je me ferais un plaisir de partager ce monde avec toi.


graphisme de la page © Asaki Nakamura.

• Il serait bien que tu détailles un peu plus le raisonnement de Bleizenn... Ce que j'entends par là : que tu expliques un peu ce qu'il envisage de faire dans le futur, si ce n'est virer son frère du "trône". Bien sûr, tu peux garder un peu de suspense, mais bon voilà =3

• Et ensuite, il faudrait quelques petites "rencontres" dans ton histoire. Comme je te l'ai dit, tu peux éventuellement décrire brièvement la rencontre avec ton "bras droit" ; ou alors... Tu peux expliquer quelques rencontres avec des Vampires. Je ne sais pas s'il y a eu de telles rencontres, mais si tel n'est pas le cas, tu peux alors décrire ce que Bleizenn pense d'eux... Ou même des humains. Même s'il a été tenu à l'écart très longtemps ^^

Fini, j'espère.