Personnage prédéfini ? : Non



Nom : Nox Fleuret
Prénom : Thelma


Âge : Dix-huit ans (et encore toute ses dents. :3)
Orientation sexuelle : Hétéro aux premiers abords.
Métier : Etudiante
Membre de la Coalition ?: Non.
Pro-vampires ? :

Physique : (10 lignes minimum)


"Elle a de la classe." Voilà probablement la remarque que ferait tout le monde à propos de Thelma.
Elle a le corps voluptueux dont le contour ne s'estompe guère, les mains fines et fuselées, les jambes longues et bien plantées. Sa démarche aisée est pleine de grâce. Mais ce sont surtout ses yeux qui lui donnent son grand pouvoir de séduction. Des iris ourlés de long cils qui détiennent un éclat d'une rare et époustouflante intensité, à laquelle il est difficile de se soustraire lorsqu'elle les plonge dans ceux d'autrui.
D'une surprenante couleur grise, on croit facilement pouvoir s'y perdre - s'y noyer même - tant ils sont lumineux. Le charme de son regard un peu naïf et rêveur est irrésistible. Elle s'habille avec beaucoup de goût, et son apparence est toujours très soignée, En effet, sa silhouette gracieuse - qui est suffocante de féminité et de ce fait outrageusement adulte - concordant grandement avec son minois, lui, particulièrement mature. Un visage dont il serait difficile de retranscrire toute la délicatesse et la pureté en quelques mots....Il affiche ainsi un petit nez bien droit, des sourcils fins sans parler de cette bouche magnifiquement dessinée, ni trop pleine, ni trop fine... juste assez charnue pour donner l‘envie d‘y gouter...
Une peau lisse et impeccable que les affres de l’adolescence semblent avoir miraculeusement épargné lui laissant une douceur de pêche. Une cascade de teinte ébène vient descendre langoureusement jusqu'à la chute de ses reins, ondulant légèrement au niveau des pointes. Souple et soyeuse, ses mèches dégradées sur le devant viennent encadrer son long visage et se réunissent en une mèche relativement inégale qui lui barre le front.
La mélancolie que dégage Thelma constitue l'élément majeur de sa panoplie de séductrice. On a toujours l'impression qu'elle est sur le point de pleurer ou qu'un triste événement vient de la frapper. Inconsolable en apparence, elle charme autant plus que l‘on peut le croire.:

Caractère : (10 lignes minimum)


L'amour-propre est un trait de caractère notoire chez Thelma. Ce trait ne fait que se renforcer. Grâce à son magnétisme, Thelma commande l'admiration et peut-être aussi le respect de ceux qui la connaissent. Éblouis par ses performances, les gens ont tendance à l'estimer et à l'apprécier plus qu'elle ne le mérite. Et, tout naturellement, elle se croit la plus forte et se permet de refuser les conseils des personnes les mieux intentionnées.
Thelma parvient difficilement à respecter ceux qui lui sont supérieurs en compétence.
Elle tient en mépris tout ce qui a trait à l'ordre ou à la contrainte. C’est une petite anarchiste dans l’âme, que voulez vous… Ne vous fiez pas à son visage d’ange ou à son sourire souvent hypocrite, Thelma est loin d’être celle que vous vous imaginez. De nature égoïste, elle ferra passer ses petits besoins personnels avant ceux des autres. Malgré ça, la jeune fille attache une très grande importance à l'amitié. Parfois elle préfère les amis qu'elle a choisis à sa propre parenté qui lui a été imposée par les liens du sang. Elle a beaucoup d'affection pour ses amis dont elle s'entoure. Mais attention, c’est assez rare d’être ami avec elle. Thelma est très exigeante, mais quand elle vous considère comme une personne importante, elle tentera de vous garder le plus possible près d’elle. Amusez-vous à la prendre pour une imbécile et vous verrez de quel bois elle se chauffe. Elle aussi très discrète et n'ose pas se confier à quelqu'un, qu'il s'agisse d'un de ses proches parents ou de ses amis intimes. Lorsqu'elle a de la peine ou des problèmes, elle préfère souffrir en silence et chercher toute seule ses solutions. - Ce qui peut la plonger dans une solutide particulière, non pas qu'elle s'en plaint.



Histoire : (20 lignes minimum)

Thème de l'histoire

Ne confondez pas le sombre avec l'obscur. L'obscur accepte l'idée de bonheur ; le sombre accepte l'idée de grandeur.

Brulantes Réminiscences.


" Mon corps lâche et mon cœur dépérit avec la nuit. Les ténèbres reviennent et m'enlacent, un vent ironique dans ses abyssales couleurs me rappelle cruellement dans ses bras. Je ne suis plus rien, j'ai tout voulu. Mais j'ai trop attendu et maintenant j'erre dans l'obscurité que, au fond, j'ai toujours maudit. "

Songe d’une nuit d’hiver.

A cette période, la nuit arrivait rapidement. L'importante présence de nuée masquait l'éclat de la lune. Il faisait sombre et une brise fraîche soufflait. Les quelques arbres aux branches nues se mouvaient à l'aide du vent. Les rares feuilles encore suspendues s'envolaient quand le souffle de l'air devenait trop fort. Les réverbères, eux, avaient cessé de fonctionner et personne ne s'en préoccupait. Seule la lumière du foyer Nox Fleuret semblait résisté à l’assaut des ténèbres. Ce soir là, Mme Nox Fleuret donna la vie à Thelma Nox Fleuret. Les ténèbres étreignit l’enfant dans ses bras, la lumière s’affaiblit, et par instinct d’un enfant, le bébé fut blottit contre la poitrine plantureuse de sa mère.

Thelma croissait dans un environnement plaisant et constructif, l’enfant apprenait chaque jour de nouvelles choses et un sourire béat était toujours dessiné sur ce visage fin et angélique.
Lors d’une soirée de ses parents, Thelma rencontra Adam. "Son -potentiel- fiancé quand elle serait plus mature. " Selon les dires de son père. Lorsque cette dernière aperçut Adam. Elle ne put s'empêcher de dire, les joues légèrement rosies.

" Tu es vraiment beau, Admire la lune, tu lui ressembles ! D’où viens-tu ?
Le garçon répondit, avec une légère amertume dans le regard et un demi-sourire.
- De loin. "

Thelma jouissait de sa gaieté, cependant, le bonheur n'est rien de plus qu'une utopie. Un rêve basé sur une illusion erronée de la réalité.

« Dans un rêve inaccessible, je me noie,
Comme tant de larmes, l'eau emplissait mes poumons
Cependant, Comme des enfants perdus, nous nous sommes encore une fois séparé, et la douleur est la seule chose qui persiste »

Les années s’écoulèrent et Thelma devint une jeune fille convoité par la gente masculine. Sa volupté ne laissait personne indifférent et la grâce innée que la jeune fille dégageait n’arrangeait pas les choses. Pourtant Thelma ne semblait pas s’intéressait à ses prétendants. Elle conservait sa pureté et attendait patiemment la personne qui viendrait la défleurir, la fraicheur se lisait sur son visage. Pourtant, derrière toute cette mise en scène, derrière ces sourires faux, Thelma se sentait mal. Un conflit s’était installé entre son père et elle. Qui voulait faire un mariage arrangé avec la famille d’Adam pour que son entreprise s’élargisse et qu’il soit connu à travers le pays. Thelma refusa, mais son père n’abandonna pas pour autant. Il tenta de la faire céder sous les menaces, la jeune fille ne fléchit pas et maintenu ses positions. Son père, fou de rage sortit de la maison…
Cependant, ce soir-là, M. Nox fleuret ne revint jamais au foyer.

« Let my tears blow my heart
Hope my future more brilliant
Let my tears blow my hurt
Hope my future less arrogant »

Illusions annihilées.

23h54 : Toujours rien, plus un signe. M. Nox fleuret n’était toujours pas rentré, Anna et Thelma fixaient la poignet de la porte d’entrée, elles attendaient un mouvement sec du poignet et que la porte s’ouvre dans son cliquetis habituel. Pourquoi devait-on en arriver là ?

La police fut mise au courant, mais pourtant, toujours aucun signe de vie du paternel, volatilisé comme de la fumée, quelque chose d’immatériel. Vint alors germer un sentiment de culpabilité dans l’esprit de la jeune fille qui était bonne à marier. Elle devait accepter son dessein funeste, pensait-elle.

Des heures, voir des jours s’écoulèrent avant que le sergent vint trouver Anna et Thelma pour leur annoncer une nouvelle. La police avait retrouvé M. Nox fleuret. Anna poussa un soupir de soulagement en levant les yeux au ciel. Le sergent stoppa net leur élan de joie. Il l’avait trouvé, certes, mais il ne faisait plus parti de ce monde. Il était mort.
En apprenant la nouvelle, sa mère tomba gravement malade. Elle resta au lit des semaines sans vouloir voir personne. Rester seule, c'était ça le remède disait-elle. Thelma tentait d’être présente le plus possible. Dès lors le sourire de la jeune fille disparu. Sa mère était rongé par la tristesse d’avoir perdu à tout jamais son tendre et cher. Or un jour, la jeune fille tomba sur un journal que tenait son père. La curiosité eut raison d’elle, et lorsqu’elle l’ouvrit…elle le lut.

Page après page, son visage se figeait.
De temps à autres, des larmes venaient finir leur course effrenée sur les joues de la jeune fille et s'écrasant sur le papier froissé. Elle lut une adresse, une heure précise ainsi qu’une date. Elle leva les yeux sur le cadran de l’horloge. C’était ce soir.

Apologie d'une frénésie.

Elle prit une veste, enfila ses basquettes et sortit de chez elle sans laisser de mot. Qui s'inquièteraient ? Sa mère malade, enfermé dans sa chambre? Aucune chance, sans doute elle avait oublié qu'elle vivait après la mort de son défunt mari. Thelma, elle, voulait en savoir plus. Elle savait bien que ce n'était pas un accident. On lui avait enlevé son père d'une manière ou d'une autre. Elle se mit a courir a travers la ville jusqu'à ce qu'elle soit au point de rendez-vous
Elle aperçut une ombre sinueuse au pont de rendez vous. Elle se racla la gorge. Quel était ce pressentiment ? Son cœur battait une chamade désordonnée. Elle prit son courage à deux mains.

« C’est vous qui attendez mon père, je me trompe ? »


L’homme pivota vers Thelma et un sourire étrange se dessina sur le visage recouvert par l’obscurité. Thelma fit quelques pas en arrière, et dans la pénombre, elle crut apercevoir des canines anormalement longues. Elle jeta le journal de son père au visage de la créature et partit en courant. Elle ne voulait pas finir comme son père, après sa course effrénée, elle s’adossa contre un mur et souffla. Maintenant, elle le savait. Quelque chose s’était passé avant la mort de son père, trop de mystères planait et, Thelma ferrait tout ce qui est en son pouvoir pour percer cette énigme, sans le savoir, la jeune fille s'était fixé un but.



Autre ? :